Ma collection

Bonsoir ta prohm,…

Au fait je ne rêve pas ta rame 3070 se déforme?
C’est dommage car je l’aime beaucoup.

Bonne journée.
Bonsoir ! :laughing:
…ou c’est un “effet visuel” au niveau de la peinture de la toiture… :question: :question: :open_mouth: :scratch:
Question… :drunken:
Bonne soirée ! :smiley:
Bonjour JCDan,

Je ne suis pas si sûr que ce ne soit qu’un effet visuel.

Dès que j’ai le temps, je sors le mien et je fais une photo si vous le permettez.

C’est un peu risqué parce que si des détracteurs de Märklin la découvre, elle fera le tour de certains forums :affraid:

Bon, c’est connu que Märklin a eu des petits soucis avec le plastique des voitures de la rame TEE, la chaleur dégagée par les ampoules de l’éclairage intérieur n’y est peut-être pas pour rien bien apparemment le mien se soit banané dans son carton qui est d’origine.

J’ai même remarqué que celui exposé au musée Märklin à Göppingen a ce problème.

Bonne soirée à tous.

Bonsoir,

non, ça n’est malheureusement pas un “effet visuel”…

C’est bel et bien une déformation de la caisse en plastique. Par contre ce phénomène ne se produit pas sur toutes les voitures des références 3070 et 4070. Certaines sont restées bien rectilignes.
Et j’ai également la rame 3071 ainsi que des voitures 4071 (mêmes modèles, mais “simplifiés”) qui ne présentent pas ces défauts…

Cette tendance a la déformation est une anomalie assez courante chez Marklin, et pas seulement sur les modèles en plastique :

  • les wagons frigorifiques 4620 (et tous les wagons “bière” qui en ont été dérivés) et les voitures 4050 et 4076 (entre autres),
  • les wagons en zamak 4606, 4607, 4608 et 4609,
  • et, plus récemment, les wagons porte-conteneur en métal (4768, 4769, 4850 et suivants),
    ont cette facheuse manie de faire le dos rond avec le temps… Et il n’y a pas de remède !

Bonne soirée

Christian :cat:

Bonjour JCDan,

Je ne suis pas si sûr que ce ne soit qu’un effet visuel.

Dès que j’ai le temps, je sors le mien et je fais une photo si vous le permettez.

C’est un peu risqué parce que si des détracteurs de Märklin la découvre, elle fera le tour de certains forums :affraid:

Bonne soirée à tous.Bonsoir Ta Prohm, bonsoir à tous !! :laughing:
Oui, c’est toujours un risque…; mais il y en a certains qui ont déjà tellement de co…eries sur Märklin qu’ils ne seraient plus à une près !! :smiling_imp: :pig: :tongue:
Hélas, cette question de déformation des caisses en PVC ou en zamac avait touchée beaucoup d’autres marques, mais pas Märklin à ma connaissance… :no: …ou tout au moins on en avait pas beaucoup parlé…
…on dit plutôt “Märklin”, c’est tout métal !! :bounce: …et ce n’est qu’en partie exact…
…en tous cas, c’est du solide !!! :bounce: :bounce: * exemple récent; stupide et malencontreux de la chute d’une 230 F de 1,50 m sur de la moquette (malgré une barrière de sécurité…c’est la chemisette du cheminot (bof !) qui était en cause :nerd: !!!) ; résultat : barre de fixation du tender + un marche-pieds = cassés ; pas d’autre dégât !!!*

:lol!:
Bonne nuit !! :sleep: :sleep:

Bonsoir les Marklinistes,

pour ceux qui ne sont pas en vacances, ceux qui ne sont plus en vacances et ceux qui ne sont pas encore en vacances, une petite série de photos.

D’abord quelques autorails et autres rames automotrices…

De la tôle pour commencer …


Primex 3017 : automotrice BR 275 de la BVG (compagnie Berlinoise). L’équivalent de notre RER, en quelque sorte…


Primex 3018 et 4022 : autorail d’inspiration libre de la KSVP (Prusse)


Primex 3185 : rame automotrice rapide Bavaroise

Variations sur le thème du fameux Schienenbus…


Primex 3012 : VT 798 et VT 998 de la DB, pour la ligne touristique des “Alpes de Chiemgau”, en Bavière.


Marklin 3140 : VT 31 et VS 32 de la compagnie locale du Land de Steirmark (province de Styrie) en Autriche. Flashy, hein, les couleurs !!


Marklin 3135 : une robe plus discrète pour la série 551/731 de la SNCB, pour le “Chemin de Fer à Vapeur des 3 Vallées”

Un grand classique…


Marklin 3076 : autorail électrique à accumulateurs BR 315/815 de la DB.
On aurait quand même pu nettoyer les vitres pour la photo ! Qu’on m’amène le responsable immédiatement !

Les “Flèches”…


Marklin 3125 : RCe 2/4 de la SBB, la “Flèche Rouge”


Marklin 3127 : RBe 2/4 de la OeBB, la “Flèche Bleue” (vous ne l’auriez pas deviné…)

Sur la base du VT 859…


Marklin 34261 : autorail diesel VT 859 de la DRG, avec deux voitures type Ci.


Marklin 3426 : série 600 de la SNCB, ici avec deux voitures à portières latérales.


Marklin 34262 : série Xo2 13 de la SJ.

Smôle ize bioutifoule…


Marklin 34831 : fourgon automoteur Gw2L 895 de la LAG (région de Munich)


Marklin 3683 : le même, aux couleurs de la DRG


Marklin 3423 : autorail “Wismar” VT133 de la DRG. Il était équipé de deux moteurs Ford; un de chaque côté, qui entrainait l’essieu opposé. On utilisait uniquement celui qui était à l’avant, dans le sens de la marche. Pour changer de sens, on changeait de moteur…


Marklin 3425 : autorail à vapeur à chaudière verticale, série DW “Kittel” de 1905. Il emmenait 40 passagers à 60 km/h sur les voies du Wurttembeg.

Du temps de la "Deutsche Reichsbann Gesellschaft…


Marklin 37265 : rame automotrice électrique ET 87 de la DR. Une des originalités de cette rame est d’avoir son élément moteur au milieu. Elle est très belle et son fonctionnement est extraordinaire de souplesse et de silence.


Marklin 37770 : automotrice diesel SVT 137 de la DRG “Hambourgeois volant”. 160 km/h en 1933. Un modèle merveilleux !

Attention, ça décoiffe…


Marklin 3477 : autorail “Zeppelin”. Propulsion par une hélice d’avion. 230 km/h en 1931! Le problème, c’était pour s’arrêter… Help !

Un petit tour dans le Grand Nord…


Marklin 37500 : c’est une des ex-rames TEE RAm qui ont été vendues par la SBB en 1976 à la compagnie Ontario Northland Railway.


Marklin 37500 : les motrices d’origine (CC diesel-électriques) n’ont pas tenu longtemps sous ce climat extrême et, en 1980, elles ont été remplacées par des FP7 US, plus résistantes.
Pour la petite histoire, une association suisse a racheté deux de ces rames aux canadiens en 1998 pour les ramener au “pays”, les restaurer aux couleurs TEE d’origine et les remettre en état de marche.

Pour continuer la visite, voici quelques locomotives qui se sont mises sur leur 31 pour la photo. C’est probablement pour vous séduire…


Marklin 3100 : BR 03 de la DRG


Marklin 3100 : BR 86 de la DRG


Marklin 3100 : BR E14 de la DRG


Marklin 3301 : BR 53 de la DRG, la “Big Boy” allemande


Marklin 83307 : T 18 de la K.W.St.E (Wurttemberg)


Marklin 3498 : BR 96 de la DRG

Marklin 37082 : BR 10 de la DB, dans une livrée qui ne fut pas retenue par la Deutsche Bundesbahn. Je vous la montrerai bientôt telle qu’elle a réellement circulé sur les rails d’Allemagne et d’Europe.

That’s all, folks… pour ce soir…

A bientôt pour d’autres photos, si vous le voulez bien !

Christian :cat:

Bonsoir tout le monde,

quelques images de trains historiques (toujours des modèles Marklin, bien sûr!), ça vous dit ?


1835 (c’est l’année, pas la référence…) : le train “Adler”, le premier train qui a roulé en Allemagne (Marklin 26350).


1859 au Wurttemberg : locomotive “Esslingen”. 250 CV, 40 km/h (Marklin 28573)


1910 : le train de l’empereur Louis II de Bavière. Locomotive type P10 (Marklin 2881)


La voiture-salon de l’empereur (Marklin 2881)


1910 : rame de la Compagnie Internationale des Wagons Lits (Marklin 42754). Désolé pour la mauvaise qualité de cette photo, ma torche est tombée en panne, ce jour là…


La voiture restaurant CIWL (Marklin 42754).


Le “Rheingold” (Marklin 4228). En tête la BR18 de la DB (Marklin 3093)


Un autre train de légende : l’Orient Express. La 231 F de la SNCF en tête d’une rame CIWL (Primex 2701) avec un wagon foudre (Primex 4546). En ce temps là, Monsieur, on ne se déplaçait pas sans son pinard…

Avant de disposer d’avions pour leur déplacements, les chefs d’état ou de gouvernement prenaient …le chemin de fer.
Ainsi, dans les années 50, 60 et 70, les Chanceliers allemands avaient à leur disposition des voitures de la DB spécialement aménagées pour leurs voyages officiels. Konrad Adenauer, Ludwig Erhard, Kurt Kiesinger et Willy Brandt les ont beaucoup utilisées, en particulier pour leur déplacements “diplomatiques”, tant chez leurs alliés de l’ouest que de l’autre côté du rideau de fer.


Outre des voitures classiques pour les personnes qui accompagnaient le Chancelier dans ses déplacements, celui-ci disposait de deux voitures spéciales : celle que l’on voit au premier plan comportait une salle de réunions et un emplacement aménagé pour embarquer la Mercedes 300 officielle.


L’autre était aménagée pour le repos et le travail du Chancelier : bureau, salon privé, chambres pour lui et ses proches, cabinets de toilette, le tout luxueux et confortable, mais sans ostentation. On remarque les antennes sur le toit qui permettaient au chef de gouvernement de rester en contact radio permanent avec Bonn.

Eh oui, vous l’avez bien reconnu, c’est bien lui. Konrad Adenauer en personne qui vous accueille à la porte de son “Salonwagen n° 10205”.
Cette voiture historique a été préservée, et elle est exposée au “Museums für Zeitgeschichte” de Bonn (musée d’histoire contemporaine).

A bientôt.

Christian

Salut,

merci pour ces photos, encore des découvertes pour moi - je ne savais pas que marklin avait réalisé des locos des années 1800-1900.

elle sont magnifiques, c’est quoi comme moteur car la caisse est petite ou les roues trés grandes ?

tu nous présente 2 rames que j’aime beaucoup : le rheingold (j’ai raté sur EB allemagne un coffret a un prix interessant) et l’orient express.

Toujours d’aussi belles machines !!

a+

ben.

…c’est quoi comme moteur car la caisse est petite ou les roues trés grandes ?
ben.
Bonjour Ben,

ces deux petites locos sont équipées de petits moteurs “Faulhaber”.
La loco Adler a son moteur dans le tender.
La loco Esslingen a son moteur placé verticalement dans le foyer (le dôme qui se trouve après la chaudière).
Pour l’une comme pour l’autre, c’est de toutes façons de la “micro mécanique”. Ouverture interdite, sous peine de perdre le bénéfice de la garantie Marklin. Donc vous ne verrez pas de photos…

A bientôt,
Christian :cat:

…c’est quoi comme moteur car la caisse est petite ou les roues trés grandes ?
ben.
Bonjour Ben,

ces deux petites locos sont équipées de petits moteurs “Faulhaber”.
La loco Adler a son moteur dans le tender.
La loco Esslingen a son moteur placé verticalement dans le foyer (le dôme qui se trouve après la chaudière).
Pour l’une comme pour l’autre, c’est de toutes façons de la “micro mécanique”. Ouverture interdite, sous peine de perdre le bénéfice de la garantie Marklin. Donc vous ne verrez pas de photos…

A bientôt,
Christian :cat:
Bonjour,

A défaut de photo et pour la curiosité ,l’éclaté de “L’Adler” :

Bonsoir à tous,

une petite séquence “histoire” pour ce soir.

Avant 1920, l’empire allemand comptait de nombreuses compagnies ferroviaires régionales, dont les plus connues et les plus dynamiques étaient celles qui avaient été créées au 19ème siècle dans les anciens royaumes germaniques :

  • la K.Bay.Sts.B. (Bavière),
  • la K.P.E.V. (Prusse),
  • la K.W.St.E. (Wurtemberg)
  • la Sächs.Sts.E.B.(Saxe)

A partir de 1920, les différents chemins de fer de l’empire furent regroupés sous l’égide de la DR (Deutsche Reichseisenbahnen), tout en restant gérés au niveau local par les provinces (Länder). A cet époque, le marquage des voitures et des wagons comportait le sigle DR et le nom de leur Land d’attache (Munchen, Baden, Breslau, etc.)

En 1924, toutes les compagnies furent définitivement fusionnées, elles passèrent sous le contrôle de la DRG (Deutsche Reichsbahn Gesellschaft) et tous les matériels reçurent le marquage “DR” sans autre indication.

A la fin de la deuxième guerre mondiale, et après les quatre années pendant lesquelles l’exploitation des chemins de fer allemands avait été transférée aux différentes zones d’occupation, la DRG disparut, remplacée par la DB (Deutsche Bundesbahn) en Allemagne de l’Ouest.
A l’est, l’administration de la RDA a conservé le nom de Deutsche Reichsbahn et les matériels ont continué à porter le sigle DR.

En 1994, après la réunification, les deux compagnies nationales ont fusionné et ont donné naissance à la DB AG actuelle.

Pour illustrer les périodes allant de 1920 à 1945, je vous propose quelques beaux modèles Marklin :


Pour commencer, la loco tender 122, série P2 II des Chemins de Fer du Palatinat, avec une “mixte” voyageurs/marchandises (1902). Marklin 34121 et 43981.


En Bavière, la K.Bay.Sts.B: la locomotive électrique 2C1, type EP 3/6 et une rame de voitures de la même compagnie. Cette motrice était équipée d’une chaudière au coke pour assurer le chauffage des voitures (on distingue la cheminée, derrière les pantographes). Marklin 34060, 4135, 41351,61 et 71.


Gros plan sur le fourgon type PPü 09 des K.Bay.Sts.B. Un très beau modèle. Marklin 43171.


Loco tender 040-040 Mallet, type Gt2 x 4/4 de la K.Bay.Sts.B (Bavière). Au crochet, une rame homogène de wagons trémies. Marklin 34962 et 46801.


En Prusse, la KPEV : loco tender 232, série T18 et une rame de voitures jumelées à portières latérales. Marklin 3305, 4207, 4208 et 4209.


Gros plan sur une paire de voitures des KPEV. Une reproduction très fine. Marklin 4209.


Une T 12 des K.P.E.V (Prusse) tire une rame de transport de gaz. Marklin 3103


A l’époque, les voitures, les locos et les gares étaient éclairées au gaz. Des wagons spéciaux (ici de la K.Bay.Sts.B) avaient été conçus pour l’acheminer des lieux de production jusqu’aux lieux de stockage. Défense de fumer ! Marklin 43300 et Trix 23915.


Au Wurtemberg, c’était la K.W.StE, la compagnie la plus représentée dans les modèles Marklin (Goppingen est au Wurtemberg). Ici la locomotive 231, Classe C, la “Belle Wurtembourgeoise”. En tête de la rame, un fourgon postal, puis des voitures à intercirculation de 2e, 3e et 4e classe. Marklin 3511, 4229, 4210 à 4214.


La locomotive 231, type S 3/6 des K.Bay.Sts.B (Bavière) et un train express. Cette locomotive a été le fleuron des chemins de fer allemands pendant des décennies. Elle a roulé sous les couleurs Bavaroises, puis sous celles de la DRG et de la DB, tractant des trains prestigieux, comme le “Rheingold”. Au titre de prises de guerre après 1945, elle a fait partie des effectifs belges (type 59) et français (231 Etat, puis 231 SNCF). Marklin 3092, 4191 et 4186.


Wurtemberg toujours : la loco tender 131 type T5 n° 1205 tracte une rame marchandises. Marklin 2857.


Sa sœur (presque jumelle), la T5 n° 1206 en tête d’une petite rame de desserte locale. Marklin 3312 et 45101.


1925 la Deutsche Reichsbahn est née : loco tender 131, BR 75 et voitures à intercirculation. Cette rame illustre bien le passage des compagnies régionales sous la bannière nationale : la loco (ex T5) et les voitures (ex C4i et BC4i) sont d’anciens matériels du Wurtemberg. Marklin 2865.


Loco vapeur 230 Br 38 de la DR. Cette machine, ex P8 Prussienne, a roulé sous les couleurs de très nombreuses compagnies ferroviaires européennes. Marklin 3098


Fourgon PwPOSTi-34 et voiture Ci-33 de la DRG. Marklin 42353


Avec la création de la Deutsche Reichsbahn, les Gt2 x 4/4 ont été baptisées BR 96 et peintes en noir et rouge. Marklin 3496.


Un tombereau de la DRG. Patine et chargement d’origine Marklin.


Une petite BR 80 de la DRG achemine un train spécial chargé d’avions Junkers F13. Marklin 2866 et 4506.


Les avions Junker F13 sur leurs wagons spéciaux.


Locomotive diesel-électrique double V188 de la DRG. Ce colosse de 147 tonnes développait 1.880 CV. Il tracte ici une rame de wagons pour transport de charges lourdes. Marklin 34282.


Locomotive électrique 2D2, type EP 5 de la DRG (ex-Bavaroise) et voitures à compartiments. Marklin 2860 et 4261.


Gros plan sur une voiture mixte 1ère et 2ème classe. Fabrication par Trix en 1988, avant le rachat par Marklin.


La motrice électrique E 91 de la DRG était une grande spécialiste des parcours de montagne. Elle était composée de trois châssis et trois caisses articulés. Marklin 3528.


Ici avec un train de travaux, la E 60 de la DRG. Marklin 3456


Une si jolie petite grue… Marklin 45091


La E 95 de la DR en tête d’une longue rame de citernes. Brawa 0241, une de mes rares infidélités à Marklin…


La rame de citernes.


Gros plan sur un wagon citerne : la ville de Göppingen dont il est originaire est le berceau historique de la firme Marklin.

La E 70, la “Crocodile Bavaroise” était une motrice électrique de type BB articulée. Nous sommes déjà en 1945, elle est aux couleurs de la DB, mais tracte une rame de wagons marchandises de la DRG. Marklin 3448

Voilà, c’est tout pour ce soir!
Si vous en voulez d’autres, il suffit de le dire. J’en ai encore pas mal à vous montrer… si ça vous intéresse.

A bientôt,
Christian :cat:

ca y est , je suis vert et complexé
je vous ai dit que j’étais nul
…blague à part…
Ta collection est MAGNIFIQUE !!!
Incroyable !!!
Je suis fier d’être sur le même forum que toi !
A+
Mat

Du coup je viens de refaire un deuxieme tour…! :blush:

j’aime également la simplicitée et précision avec laquelle tu décris ta collection…

Tu peux en étre fier…!

J’imagine déja le plaisir que tu vas avoir quand tu auras la place pour faire circuler tes machines… :wink:

petite question as-tu du 1…? je lorgne actuellement fortement sur la rame Adler en 1… :pale:

Bonjour Hervé,

et merci pour tes gentils compliments :blush:

Non, je n’ai pas de “1”…
Que du HO. Du HO et du OO pour être précis, puisque c’est cette dernière échelle qui était appliquée par Marklin pour ses matériels roulants jusqu’en 1950.

A bientôt,
Christian :cat:

Que du HO. Du HO et du OO pour être précis, puisque c’est cette dernière échelle qui était appliquée par Marklin pour ses matériels roulants jusqu’en 1950.
Soit dit en passant le 00 est une échelle “so british” qui correspond au 1/76e pour le matériel mais utilisait le HO comme écartement de voies. Quand les fabricants européens ont décidé de passer au HO même pour le matériel, çà a contribué à beaucoup plus de finesse sur les modèles (toutes marques confondues) et un avantage industriel en terme de coût de matière.

D’où les bizarreries des maquettes airfix et matchbox de l’époque qui annonçaient 1/72e ou 1/76e HO/00 sur leurs boîtes :smiley:

Ok bien le merci pour ta réponse Christian… :wink:

je ne suis pas trop le genre a faire des éloges et mes compliments sont sincéres, d’autant que j’imagine le temps qu’il te faut pour poster toute ces photos sur le forum pour notre plus grand plaisir…!

un pur moment de bonheur…

Hello Markholin

A la vue de ta collection, il ne faut pas être cardiaque, je suis vert, jaloux et honteux, devant tant de perfection! (état du matériel, et qualité des photos et de leur mise en scène :alien: )
Tu mets la barre très haut à des sommets presque himalayen (en tout cas pour moi! :unamused: ) et il va falloir que je m’applique pour vous montrer les photos de mon matériel :wink:
Petite réflection qui me vient à la vue de toutes ces merveilles, (et que je me suis déjà posé!) quant à son prix qui doit atteindre aussi des sommets quant à leur nombre et certainement aussi rareté, es tu assuré, et existe-t-il des contrats d’assurance pour notre chère passion (2 sens du terme) :question: car je n’ai pas vraiment fait le total de tout mon matos (je veux pas me faire peur et engueuler si ca tombe dans des mains non autorisées et préparées), mais si un jour il y a un problème, j’ai une confiance on ne peut plus limité dans les assureurs sur un contrat classique d’habitation, et je ne veux pas avoir mes yeux pour pleurer et des souvenirs nostalgiques :cry:
@+

…existe-t-il des contrats d’assurance pour notre chère passion …
Bonsoir Philcom,

les contrats classiques d’habitation ne couvrent généralement pas ce genre de risque.

Il faut souscrire une police spécifique pour couvrir ce type de collection. C’est très cher et assez compliqué. Certaines compagnies exigent une expertise préalable réalisée par un spécialiste agréé. Il faut que tu questionnes ton assureur.

Christian :cat:

Que du HO. Du HO et du OO pour être précis, puisque c’est cette dernière échelle qui était appliquée par Marklin pour ses matériels roulants jusqu’en 1950.
Soit dit en passant le 00 est une échelle “so british” qui correspond au 1/76e pour le matériel mais utilisait le HO comme écartement de voies. Quand les fabricants européens ont décidé de passer au HO même pour le matériel, çà a contribué à beaucoup plus de finesse sur les modèles (toutes marques confondues) et un avantage industriel en terme de coût de matière.

D’où les bizarreries des maquettes airfix et matchbox de l’époque qui annonçaient 1/72e ou 1/76e HO/00 sur leurs boîtes :smiley:
Bonsoir à tous

Pour compléter la remarque (toujours pertinente) de Jyl :

En effet, si Marklin a bien été l’inventeur du HO en 1935, à l’époque seuls les matériels de voie étaient au 1/87e. Tous les matériels roulants étaient en “OO”, i.e. au 1/76e.
Ce n’est qu’à partir de 1950 que, progressivement, les fabrications de Marklin sont passées au 1/87e pour les locos et les wagons.

Pour illustrer cette différence, voici quelques photos de modèles, parmi ceux qui ont été fabriqués dans les deux échelles :



Vapeur Br 80 de la DB : le modèle de 1949 (TM800) et celui de 1988 (3304)


Vapeur Br 86 de la DB : le modèle de 1952 (TT800) et celui de 1971 (3096)



Br E 18 de la DB : celle de 1958 (3023) et celle de 1993 (3367)


Ce 6/8 de la SBB : la 3015 de 1959 , et la 3556 de 1989.

On peut, au passage, apprécier aussi les progrès faits en matière de réalisme et de détaillage…

Christian :cat:

Bonsoir à tous,

ça fait déjà quelques temps que je ne vous ai pas posté une petite série de photos.

Pour me faire pardonner de vous avoir lâchement abandonnés, je vais vous présenter ma petite préférée…

Oui, je sais que ça n’est pas bien et qu’en bon père de famille collection, je ne devrais pas faire de différence entre mes locos, pour ne pas faire de jalouses.
Mais, bon, l’amour, ça ne se commande pas !

J’ai donc une “petite chouchou”, la voici :

C’est la E18, une machine électrique de type 1D1 construite à partir de 1933 par les usines AEG pour la Deutsche Reichsbahn.
Cette splendide loco développait 4.130 CV et tractait ses rames voyageurs entre les grandes métropoles allemandes à 150 km/h.
Présentée à l’exposition universelle de Paris en 1937, elle y a remporté toutes les plus grandes distinctions récompensant les innovations technologiques de l’époque et a reçu le titre de “la plus belle locomotive de tous les temps”.
La E18 et sa grande soeur E19 ont été utilisées par les compagnies allemandes successives jusqu’en 1984, et ont également roulé en Autriche et en RDA.
Cette photo la représente en état brut, avant peinture et marquages. Modèle Marklin 3667.

Je vous propose quelques images des différentes versions de ces belles machines qui ont marqué l’histoire de la traction électrique outre-rhin, et des voitures qu’elles ont tractées.

Mais d’abord, la photo de famille :


Il manque sur cette photo la 3023 et la 3024 (les modèles Marklin de la E18 des années 50), mais je vous les ai déjà présentées il y a quelques temps.


La E18 15 de la DRG. Marklin 33681.


Voiture C4übay 11 de la DRG (ex Bavaroise). Marklin 4136.


La Br 118 034 de la DB. Marklin 3367.


Voiture Aüe de 1ère classe et voiture restaurant WRüge de la DB. Marklin 43200 et 43240.


La Br 118 024 de la DB. Marklin 3368.


Voiture ABüe mixte 1ère et 2ème classes. Marklin 43209.


La Br 118 013 de la DB. Marklin 3667.


Voiture de 1ère classe Aüm 201. Marklin 4091.


Fourgon postal Post mrz de la DB. Marklin 4157


En Autriche : la Br 1118.01 de la ÖBB. Marklin 3369.


Fourgon postal F4h de l’Österreisch Post. Marklin 43267.


En RDA (Allemagne de l’est) : la Br E18.40. Marklin 26509.


Voiture de 1ère classe de la DR (RDA). Marklin 26509.


La E 19, reconnaissable à son lanterneau plus haut que celui de la E 18 était une version améliorée de cette dernière. Elle atteignait 180 km/h. Ici la E 19.12 dans sa livrée d’origine de la DRG, en tête d’un train de voitures-lit. Marklin 3469.


Voiture restaurant WR4ü de la MITROPA (Mitteleuropäische Schlafwagen und Speisewagen Gesellschaft). Marklin 43241.


La Br E 19.12 de la DR dans sa livrée de 1940. Marklin 34691.


Voiture mixte 1ère, 2ème et 3ème classes de la DR. Marklin 43211.

A bientôt (si vous le voulez bien) pour une présentation de vapeurs des séries BR50 et BR52.

Christian :cat:

J’attend avec impatience les BR 50 et 52. Sur la dernière photos je ne savais pas que la DR avait des voitures aussi profilées et à l’aspect aussi moderne, erreur Mârklin ou historique ? :scratch:

Bonsoir tout le monde,

voici donc, comme promis, une “série spéciale” consacrée aux locomotives à vapeur de type 150 et, plus particulièrement aux machines issues des séries allemandes Br 50 et Br 52.

La Br 50 a été construite à plus de 3.000 exemplaires, en Allemagne et dans les pays occupés pendant la deuxième guerre mondiale.


La voici dans sa livrée de la DB. Marklin 3084.

Mais on a pu voir cette machine rouler aussi sous les couleurs de plusieurs compagnies européennes :


En Belgique : la série 25 de la SNCB. Marklin 3314


En Hollande : la série 49 des NS. Notez que le numéro de série d’origine de la machine allemande (sur la porte de la boîte à fumée 50-1680ÜK) a été maintenu, mais rayé, et que le numéro hollandais (4903) de cette machine figure sur la traverse de tamponnement. Marklin 3419.


Et en France : la 150 Z de la SNCF. Marklin 3414.

Mais la machine la plus répandue, celle qui fut construite à près de 7.000 exemplaires, a été la Br 52, la fameuse “Kriegslokomotive” (locomotive de guerre).
En fait, pendant la deuxième guerre mondiale, et plus spécialement à partir de 1942, l’Allemagne était confrontée un besoin sans cesse croissant de locomotives pour tracter des convois de plus en plus lourds, en particulier vers les différents fronts où elle s’était engagée.
Pour prendre en compte la pénurie de matières premières, il fut donc décidé de construire, sur la base de la Br 50, une grande série de locomotives “à l’économie”. Le modèle d’origine fut donc considérablement simplifié et allégé pour donner naissance à la Br 52.
Cette machine a continué à sillonner les voies de nombreux pays européens, bien après 1945.

En voici quelques reproductions :


La Br 52, telle qu’elle sortait des chaînes de montage des usines Henschell, et immatriculée à la DRG. Marklin 3393.


Sous les couleurs de la DB, la Br 52-3321 (désolé, mon appareil s’obstine à reproduire en jaune orangé les parties rouges)…


…cette loco a été reproduite par Marklin en tant que “machine de pousse” d’un chasse neige à fraise. Marklin 28830.


Cette Br 52-1911, encore de la DB, est équipée d’un système de récupération de la vapeur d’eau et d’un tender à condenseur.
Une fois passée dans les cylindres, la vapeur n’était pas relâchée à l’air libre comme sur les locos classiques. Après être passée dans un récupérateur d’huile, elle était ramenée vers le tender…


… où elle était refroidie et condensée avec l’aide de ces trois gros ventilateurs mus par une turbine. L’eau ainsi récupérée pouvait à nouveau servir pour alimenter la chaudière et permettait à cette loco de parcourir jusqu’à 1.200 kilomètres sans “refaire le plein”. Marklin 34171.


La Br 52 a été utilisée en Norvège : série 63 des NSB…


…avec un embiellage peint en bleu lavande du plus bel effet ! Marklin 3417.


Sur les rails d’Autriche : la Br 52-7088 de l’ÖBB,


avec son tender à rehausse et cabine de vigie. Marklin 34161.


Au Luxembourg, la série 56 des CFL…


…la 5609 pour être précis. Marklin 34158.

Et, enfin, la 150 Y de la SNCF. A mon avis (et sans chauvinisme aucun) la plus belle livrée, celle qui met le mieux en valeur les lignes sobres et élégantes de cette machine. Marklin 34157

Voilà, je vous donne rendez vous prochainement, pour des matériels plus contemporains (Eh oui, y’en a encore…).

Bon courage à tous.

Christian :cat: