Ce que je voulais dire c’est qu’étant donné que je n’ai jamais vu la SK 800 rouler dans mon enfance, je n’ai pas de lien affectif si ce n’est que je la trouve très belle et que c’est ce qu’on pourrait appeler une Meisterstück. Les locomotives dont j’ai hérité je ne les ai pas vue rouler non plus mais j’avais un lien affectif fort avec leur propriétaire. Dès lors je préfère mettre 600 € dans le modèle Insider actuel qui se mariera très bien avec ma collection que 600€ dans un jouet ancien qui ne « représente rien » à mes yeux.
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Merci pour la vidéo, j’ai bien aimé le filtre vintage et la bande son qui donnent un charme fou. J’apprécie grandement également que tu notes les références des modèles dans le générique.
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Merci d’avoir regardé ma vidéo jusqu’au générique de fin 
Je comprends l’aspect motivation SK800<>Modèle Insider.
De mon côté, j’ai arrêté l’hémorragie de mon argent vers les nouveaux modèles, sauf SNCB époque III exclusivement.
Je revends actuellement beaucoup de pièces de ma collection.
Bonsoir Adrien,
Je te comprends : j’ai moi-même hérité de la SK 800 de mon père (encore dans sa boîte d’origine, ainsi que tout le reste de sa collection), mais au delà du fait que cela me rappelle mon père, je n’ai pas de lien avec ce modèle ! J’en ai plus avec ceux beaucoup plus récent que j’ai moi-même acheté et qui constituent un ensemble cohérent époque par époque. Je ne suis absolument pas attiré par cette période que je n’ai pas connu.
La BR 06 est un très beau modèle, très impressionnant de par sa silhouette. Un peu le pendant de la BR 53 jamais construite (côté locomotives de marchandises) …
Je ne pourrai pas m’en porter acquéreur (de même que la magnifique BR 02) car les prix pour une locomotive sont de nos jours hors de portée pour les bourses moyennes.
As-tu un petit bout de réseau pour nous présenter ta collection ?
P.S. à @hubep :
J’ai enseigné 4 ans à l’école nationale d’architecture de Lyon : un magnifique souvenir qui m’a beaucoup apporté et m’a permis de communiquer (je l’espère) ma passion …
Amicalement,
Fred
Bonsoir Fred,
Je n’ai pas de bout de réseau – pas plus que ma collection d’ailleurs – là où j’habite par manque de place (appartement).
J’ai commencé ma collection Märklin il y a environ 15 ans quand j’étais étudiant avec mes premiers petits boulots (mon premier achat était le VT 11.5 - réf. 37605 et le coffret de voitures complémentaire réf. 43115) et depuis j’ai surtout acheté du matériel roulant (en moyenne 2 locomotives par an et quelques voitures/wagons). Tout ça est stocké chez mes parents avec un simple 8 et une voie de garage (voie K de mon coffret de départ “L’ère de la traction vapeur” réf. 29830).
Dans mon appartement, j’ai 2 vitrines dans ma bibliothèque où j’expose le modèle que j’ai acheté le plus récemment et un autre que je pioche dans ma collection lorsque je passe chez mes parents.
Ma dernière acquisition est la type 1 SNCB réf. 39480.
Pour l’instant j’achète des locomotives pour lesquelles j’ai un coup de cœur (principalement vapeur–époque III – DB) parce que c’est ce qui coûte le plus cher dans notre hobby et que je n’ai pas encore d’études universitaires et de logements étudiants à payer à mes enfants (j’en ai encore pour 8 ans).
À partir de ce moment-là et quand je pourrai récupérer une chambre (si on n’a pas déménagé d’ici-là) je me pencherai sur la réalisation d’un réseau.
Mon rêve est de faire un réseau tour de pièce à 2 mètres du sol (qui passe au dessus a porte). L’idée est de couvrir les murs par des armoires type Kewlox et de faire passer les trains dans le caisson supérieur avec des portes vitrées et un éclairage. Les armoires pouvant stocker le matériel qui ne roule pas et éventuellement une gare cachée.
En attendant j’ai chez moi quelques éléments de voies C qui me permettent 1°de tester/configurer mes nouveaux modèles avant de les mettre en vitrine et 2° de faire rêver les enfants le temps d’un après-midi.
Bonne soirée, bon week-end,
Adrien
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Bonsoir Fred,
Bonsoir Pascal,
Notre récente discussion m’a donné envie de faire tourner mes vieilles locomotives cet après-midi.
Voici une brève vidéo qui je l’espère vous plaira. Je n’ai pas les boîtes donc je ne connais pas les références.
Adrien.
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C’est assez classique, voire inévitable pour un Belge qui joue au petit train électrique : une type 64, réf 3086, version 3 de 1978. Pour les amateurs de photographie, F11, 1/500, iso 100, synchronisation flash haute vitesse pour éclairer le sujet tout en le détachant du fond sombre.
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Bonjour Pascal,
“jouet” - mouais, mais pas jouet d’enfant. Et, ce que j’apprécie tant aux modèles de l’ère des 800 (et 700, pour certains), c’est que justement ces modèles n’étaient pas à l’échelle précise mais, comment dire, une interprétation subjectiviste qui rend plus l’impression que nous fait l’original que les détails plus ou moins fades qui n’intéressent que le spécialiste. Que l’interprétation de la 06 ait un essieu moteur en moins, tout comme celle de la E18 (je n’ai pas retenu leurs “noms de code”), qu’on pense même des E44 à seulement deux essieux (et quand il y en a 4, c’est non pas en B’B’ (deux bogies) mais en 1’B1’ (bissel, deux essieux moteurs fixes, bissel). Mais l’impression que fait une telle machine, avec son train à cent-vingt-treize voitures, c’est cela que rendent ces modèles lourds et volumineux.
Ça s’est perdu au fur et à la mesure que le plastique et les moulures de plus en plus fines ont trouvé leur place dans la conception des modèles, que la 3096 a remplacé la TT800 (quelle différence à les mettre l’une à côté de l’autre, alors que les deux sont des BR 86), que la 3024 avait 4 essieux moteurs au lieu de trois, que l’ancien CCS 800 a cédé la place au 3056 par exemple et que la vieille E44 a tiré sa révérence, mais tant qu’il y avait un moteur à bobine dans la machine, il restait un peu de ce vieux charme peut-être désuet mais ô combien plaisant !
Merci pour les vidéos !
Il y a quelques ampoules à remplacer, mais les gros volumes pour les modèles anciens sont difficiles à trouver maintenant, et assez chers en plus !
P.S.
Transmettre à la génération suivante - ou plus généralement à d’autres personnes - ce qui nous fait vibrer, ce qui nous tient à coeur, ce que nous savons et pensons, tout en nous laissant questionner et mettre en question par eux, oui, c’est ce qu’il y a de plus beau.
Après, pour être fils et père d’enseignants, il y a enseigner et il y a la réalité du métier. Et là, ça peine souvent.
N’empêche que j’ai été assez hardi pour me désigner volontaire des cours de religion à l’école primaire, yiii-haaaa !