La "Rue de Suède" revisitée en Marklin Digital

Bonsoir Manu, Bonsoir a Tous,
Beau résultat , bravo !
Je partage l’avis de Wolfram concernant l’utilisation des manchons thermo a la place du ruban adhésif:

Bon WE
Jérôme

Bonjour Wolfram,

Merci pour cet aimable conseil. Sur d’autres canaux sociaux, d’autres se sont montrés bien plus caustiques pour ce même conseil. Moralité, je termine mes derniers branchements avec de la gaine thermorétractable et je vais voir si je peux reprendre certains branchements.

Tes observations sur la Piko me refroidissent un peu…

Merci de ton intervention
Emmanuel

Bonjour Jérôme

Comme dit à Wolfram, effectivement le chatterton, c’est moche, pas pratique et ca se décolle parfois. Pour la suite des travaux je vais donc utiliser de la gaine thermorétractable. Mais c’est la première fois que j’utilise de la gaine et je ne savais pas comment la chauffer. Finalement, je la chauffe avec le rer a souder, partie au dessus de la pane. Et effectivement ca fait plus propre.

Merci pour vos conseils les amis.
Emmanuel

Superbe réalisation, respect. Une grande précision qui sert d’exemple.

Bravo et bonne suite !

Bonjour Nicolas,

Merci pour ta visite encourageante
Emmanuel

[size=200]Le poste d’aiguillage de ZI Nord[/size]

Épisode 108 - Après plusieurs jours de soudure et de câblage, le poste d’aiguillage de la compagnie est presque terminé. Bonne occasion pour évoquer la réactivé du SAV de Lapierre-Modélisme.

Le poste d’aiguillage de la compagnie est enfin opérationnel. Ils ne manquent plus que les boutons-poussoirs pour les futurs moteurs d’aiguilles.

SAV Lapierre-Modelisme

A cette occasion, il faut souligner la réactivité du SAV de Lapierre-Modélisme. J’ai toujours eu la courtoisie d’aviser les professionnels lorsque j’évoque leurs produits ou service sur mes pages. Ils peuvent ainsi apporter des précisions s’ils l’estiment nécessaire. Il en a donc été de même avec ce détaillant spécialisé dans les accessoires électriques et électroniques. Suite à ma dernière publication, il m’a immédiatement adressé un mail m’informant de l’envoi de deux nouveaux inverseurs et de l’échantillon. Expédié samedi, reçu ce lundi.

Cette diligente efficacité méritait d’être relevée. C’est assez rare.

Le poste d’aiguillage

Pour suivre les conseils de mes lecteurs, j’ai terminé mes branchements avec de la gaine thermorétractable et j’ai repris de nombreux points de soudures pour remplacer, autant que faire se peut, le chatterton par cette gaine bien plus efficace. Un faisceau a ensuite été tiré pour relier le tableau au module.


[size=85]Photo 517 : De la gaine thermorétractable a été utilisée pour les branchements des connectiques et des leds. Source : letraindemanu sur Canalblog.
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Le pupitre est incliné à 50° sous le module “ZI Nord” qui, même si une extension Est est prévue, n’en restera pas moins le module principal de ce petit réseau industriel.

Toute la signalisation y est centralisée et comprend également les signaux distants, non présents physiquement sur le réseau, pour obtenir un synoptique cohérent de la ligne lors de l’exploitation future de celle-ci. Ce tracé occupe le tiers supérieur du pupitre. La répétition des signaux est la bienvenue, les leds CMS des cibles n’étant pas toujours très visibles si l’on n’est pas dans l’axe de la voie. Comme dans la réalité en fait.

Sur la partie gauche, une dizaine d’interrupteurs commandent les circuits auxiliaires (éclairages des bâtiments, cours et voies publiques en particulier).

Au centre, la Mobile-Station 2, désormais encastrée, est encadrée par les commande des signaux : Ceux de “ZI Nord” à gauche (disque Ouest, sémaphore, passage à niveau et les deux carrés) et ceux de l’extension Est à droite (guidon d’arrêt, carré Est et disque Est).

Les boutons poussoirs des aiguilles seront installés plus tard au fur et à mesure de la motorisation de celles-ci. Les leds CMS clignotantes rouges du PN ont été achetées dans la foulées et permettront d’installer prochainement les panneaux routiers. un module sonore “sonnerie” sera sans doute également installé.

La grandeur du pupitre me laisse une place suffisante pour intégrer ultérieurement une arrivée 230V avec interrupteur général, ainsi que de futures cases pour mes cartes-wagons.


[size=85]Photo 518 : Le tableau de commande et de contrôle (TCC) de la compagnie. Source : letraindemanu sur Canalblog.[/size]

En attendant les prochains travaux structurels sur le module aveugle, il est temps de retourner aux bâtiments et à la patine des wagons.

Emmanuel
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Cet article ne revêt aucun caractère publicitaire et est rédigé en toute indépendance éditoriale. Les informations et tarifs portés à la connaissance des lecteurs sont sous toutes réserves. Contact : letraindemanu(at)gmail.com[/size]

Du bel ouvrage que voilà, Manu.

Félicitations.

Bonjour Manu,

J’ai envie de dire « très pro » comme toujours :astonished:

Bonjour Manu, bonjour à Tous

Oui bel ouvrage !
Pour les Thermos , l’utisation d’un soufflant ou d’un sèche cheveux est préconisé .
Comment as tu procédé ?

Bonne continuation
Jerome

Bonjour

Le sèche cheveux qui sort les 120°C nécessaire à la rétractation des thermos, je le dénonce à l’inspectorat des appareils électriques.

Il existe des appareils à air chaud prévu pour cela, sauf qu’ils sont en général trop gros. J’ai la classe ultime à la maison: Weller HAP 1, réglable en température de 50°C à 550°C et en débit d’air :heart: .

Au dessus d’une flame de briquet ou de bougie à réchaut c’est aussi bon, mais bien au dessus et non dedant :face:
Sur le coté du fer cela va aussi, mais c’est plus par contact que par air chaud et le résultat n’est pas autant joli.

Delias

Superbe boulot !

Pour rétracter les gaines, j’utilise un décapeur thermique ou un briquet, mais sans que la flamme touche la gaine.

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Bonjour à tous,

Pour la gaine, je l’ai chauffée avec le corps (et non la pane) du fer à souder, par contact. C’est peut être moins beau, mais je n’ai pas d’autres appareils.

Le résultat aurait été meilleur avec une autre matiere que le contreplaqué, mais pour le moment je n’ai pas trouvé mieux. Malgré tout ce n est pas si mal.
Merci de vos interventions
Emmanuel

[size=200]Patine : un wagon pour transporter la chaux[/size]

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Épisode 110 - Reprise des travaux de patine sur le parc wagons. Dans cet épisode, je traite un wagon pour le transport de la chaux.

Après les opérations de câblage du tableau de commande et de contrôle, retour aux opérations de patine du parc wagons. Pour cette séance, je choisis de travailler sur un wagon à couvercles rabattables pour le transport de la chaux à l’époque III. Ce wagon est issu du coffret Roco 67127 acquis en décembre dernier (Épisode 79).

Chaux agricole

La chaux est un produit millénaire issu du calcaire chauffé à haute température (1000 à 1200°) dans des fours se trouvant généralement à proximité des carrières d’où il est extrait. La chaux et ses produits dérivés sont utilisés par l’industrie, sidérurgique notamment, ainsi que dans le domaine de la construction et en agriculture pour amender les sols.

letraindemanu (525) wagon transport de chaux de la DR source Wikipédia.jpg
[size=85]Photo 525 : wagon transport de chaux type Elberfeld de la DR. Cliché de Henning Pietsch. Source : Wikipedia.org[/size]

Le wagon utilisé ici était plus particulièrement destiné au transport de la chaux agricole pour desservir les centres de distribution auprès des exploitants agraires. D’un point de vue purement esthétique, ces wagons avaient la particularité d’être recouverts d’une couche de poussière de chaux qui leur donnait cet aspect blanchâtre caractéristique, en particulier sur sa toiture. (Photo 525 ci-dessus).

Patine : le lavis

Pour mémoire, je travaille uniquement aux pinceaux avec des peintures acryliques de marque Pébéo que l’on trouve facilement au rayons “arts graphiques” d’enseignes type Truffaut ou Zoodio, et avec des terres à décor (TAD). Dans l’épisode 92, j’avais décrit le panel des couleurs à ma disposition. Ma technique n’est sans doute pas aussi efficace qu’un travail à l’aérographe mais a le mérite d’être facilement accessible au plus grand nombre. Les solutions de peinture sont réalisées dans des petits pots de sauce soja : munis de leur couvercle d’origine, ils permettent de conserver la préparation plusieurs jours.


[size=85]Photo 526 : wagon transport de chaux de la DR, modèle Roco avant mise en patine. Source : letraindemanu sur Canalblog.[/size]

Après retrait des essieux, j’applique une première passe d’ “ombre naturelle” diluée à l’alcool à 70° sur les renforts de caisse, poignées, charnières, rivets et plus généralement tous les creux où s’accumulent les poussières. Le châssis est également traité avec ce même lavis.

La dilution a l’alcool à 70° permet une évaporation plus rapide et donc un temps d’attente plus court entre chaque passe. L’ “ombre naturelle” permet l’obtention d’une teinte plus subtile que le “noir de mars” que j’utilisais sur mes premiers wagons.

Il y a lieu de bien attendre entre chaque application car la peinture fonce au séchage. Une seconde passe est pratiquée aux même endroits que la première.

La troisième passe est consacrée à l’ensemble de la caisse et du châssis. Les flancs de roues sont également traités.

Puis un lavis blanc

Après cette première phase, je prépare un lavis de “blanc de titane” : une noisette diuée dans l’alcool à 70°. J’applique ce jus sur l’ensemble de la caisse. Une seconde passe est apposée sur les éléments de toiture.


[size=85]Photo 527 : wagon transport de chaux de la DR, modèle Roco après mise en patine. Source : letraindemanu sur Canalblog.[/size]

Les terres à décor

J’applique dans l’ordre :

  • TAD “rouge brique” : boisseaux de tampons, lames de ressort des amortisseurs,

  • TAD “ocre clair”, puis “ocre foncé” et enfin “noir poussière” : ensemble du chassis,

  • TAD “blanche” : ensemble de la toiture et les faces latérales de la caisse, en insistant dans les creux.

Un voile de vernis mat en bombe est pulvérisé. Il ne faut vraiment pas hésiter sur la quantité de TAD car la couche de vernis va beaucoup atténuer l’aspect final. Je me suis fait avoir et mon résultat est plus soft qu’espéré. Néanmoins, ce petit wagon Roco a une allure bien sympathique après ce passage à l’atelier peinture.


[size=85]Photo 528 : wagon transport de chaux de la DR, modèle Roco avant et après mise en patine. Source : letraindemanu sur Canalblog.[/size]

Il ne me reste plus qu’à lui confectionner sa carte-wagon. J’ai d’ailleurs pris du retard dans ce domaine.

Prochains wagons : deux tombereaux issus du même coffret.

Emmanuel

Bonjour Manu,
Toujours aussi chouettes tes wagons
Sincèrement Mark

Très chouette, c’est vrai que cela change tout !

Superbe résultat, ça donne vraiment bien !

Hello Manu , bonsoir à Tous

Un très beau travail , Bravo!
Ça donne un super rendu

Bonne continuation
Jerome

Bonjour Jérôme,

Le vernis à beaucoup atténué le rendu final. Pourtant je le savais, mais je me suis fait avoir quand même. Peut être parce que c’était une nouvelle marque de vernis ? Bon, ce n’est pas dramatique mais faudra en tenir compte pour la suite des travaux.

Merci de ton intérêt
Emmanuel

[size=200]Patine : Deux wagons tombereaux et leurs chargements[/size]

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Épisode 111 - Poursuite des travaux de patine sur le parc marchandise.

Pour ce nouvel exercice, je passe à l’atelier peinture deux wagons tombereaux Roco issus du coffret 67127 reçu début décembre (épisode 79). Il s’agit d’un tombereau type Omu et d’un tombereau type Ommu44 immatriculés à la DR. Ce sont des matériels de choix pour le modéliste puisque ces wagons permettent de prévoir d’innombrables chargements : Du vrac notamment (charbon, sables et graviers, bois, ferrailles, betteraves, pommes de terre,…). Même avec seulement quelques unités, il est donc possible de varier les convois.


[size=85]Photo 529 : Les deux wagons tombereau Ho Roco avant patine. Source : letraindemanu sur Canalblog[/size]

Pour mémoire, je travaille aux pinceaux, avec des peintures acryliques Pébéo et des terres à décor.

Première étape : chargements des tombereaux

La première étape consiste à réaliser les chargements puisque ceux-ci nécessitent de manipuler les wagons. Il est donc préférable de les fabriquer avant patine.

L’intérieur des tombereaux mesure 90 x 29 mm. Il faut donc découper des plaques de Carton-Plume™, épaisseur 3 ou 5 mm, à ces dimensions. Autant de plaques que de chargements futurs. Pour ma part, je prévois des chargements de sable, de graviers et de bois.


[size=85]Photo 530 : Les deux wagons tombereau Ho Roco avant patine. Préparation du chargement de sable. Source : letraindemanu sur Canalblog[/size]

La découpe des plaques se termine par un ponçage des tranches, les tranches frottées sur un papier de verre grain fin posé à plat sur le plan de travail, puis à 45°, ce biseautage facilitant les insertions futures.: il faut que chaque plaque puisse s’insérer et se retirer facilement. A noter que les deux tombereaux ont ici les mêmes dimensions intérieures. Il faut donc prévoir toutes les cargaisons en double.

■ Chargements de sable et de graviers

La technique ayant déjà été décrite à l’occasion de la patine de mon premier wagon (Épisode 63), je vous invite à vous y reporter. L’intérieur de la caisse est d’abord protégé par un film alimentaire fin. Deux cales sont ensuite collées sous la plaque pour la rehausser, puis la plaque est insérée dans le wagon. Le sable fin (voir épisode 13) est déposé à sec avec un petit entonnoir de cuisine en reproduisant les deux proéminences consécutives au chargement. Le tout est ensuite mouillé au brumisateur. La fixation est assurée par l’imprégnation de colle vinylique diluée à 50% d’eau et déposée à la seringue en goutte à goutte. C’est la même technique que pour la pose du ballast.


[size=85]Photo 531 : Les deux wagons tombereau Ho Roco avant patine. Fabrication du chargement de sable naturel. Source : letraindemanu sur Canalblog[/size]

Après une journée complète de séchage dans le wagon, le chargement est délicatement retiré en s’aidant du film alimentaire qui est ensuite ôté. En principe, le chargement est prêt. Il est recouvert d’un voile de vernis mat. Si besoin, un léger ponçage du pourtour suffit pour que le chargement s’insère aisément. Au dos de la plaque, j’inscris la référence du wagon auquel elle est destinée. J’envisage d’ailleurs la fabrication d’un présentoir pour ranger proprement les chargements.

Les chargements de graviers sont confectionnés selon le même principe.

■ Les chargements de bois

Ayant déjà réalisé un chargement de grumes sur un plat à ranchers (Épisode 92), je prévois :

  • un chargement de troncs (transport horizontal) pour le premier tombereau

  • Et un chargement de bois débité (transport vertical) pour le second afin de varier les cargaisons.

Pour mémoire, je travaille avec des branchages naturels récupérés lors des promenades avec mon chien. Je privilégie les branches relativement droites. Le bois est ensuite stérilisé au four (3h, thermostat max). Toutes les découpes sont réalisées au disque à tronçonner monté sur la Dremel. C’est un travail qui engendre de la fine sciure que je récupère en fin de séance dans un petit pot : cela me fera de la “terre” à décor naturelle.

Les plaques de Carton-Plume™ sont peintes en noir. Celle destinée aux troncs est dotée de deux cales à sa base pour la surélever, puisqu’il n’y aura qu’une seule rangée de troncs. Celle destinée aux bois débités n’en est pas munie pour être plus profonde et stabiliser ainsi le chargement vertical. Les plaques sont ensuite mises en place, l’ intérieur de caisse étant protégé par du film alimentaire.

Pour le tombereau de troncs, je choisi quatre branches droites, d’un longueur de 90mm et d’un diamètre suffisant pour occuper tout le volume disponible en offrant le moins possible d’interstices. Ils sont collés sur un lit de colle vinylique pure.

Pour le bois débité, je sectionne des morceaux de 13mm en sélectionnant des branchages de diamètres homogènes. Il faut environ 75 débits pour remplir le tombereau. Les morceaux de bois sont mis en place verticalement, collés sur un lit de colle vinylique pure. Une solution de colle vinylique diluée à 50% d’eau est ensuite déposée en goutte à goutte à la seringue entre chaque morceau. Je laisse sécher 24h.


[size=85]Photo 532 : Les deux wagons tombereau Ho Roco avant patine. Fabrication du chargement de bois débité. Source : letraindemanu sur Canalblog[/size]

Les chutes et surplus sont conservés pour un usage ultérieur puisque j’envisage une scierie sur la future ZI Est.
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Seconde étape : patine des wagons**

Préparation d’un lavis d’ “Ombre naturelle” : une noisette largement diluée à l’alcool à 70°. Ce diluant s’évapore plus vite que l’eau, ce qui diminue considérablement le temps d’attente entre deux passes. Prévoir une quantité suffisante pour travailler sur plusieurs jours, conservée dans un pot de sauce soja recyclée d’un traiteur asiatique, avec son couvercle.

Une première passe est appliquée sur les renforts de caisse, les poignées, les charnières, les grilles porte-documents, sur le châssis, l’intérieur des parois et le plancher.

Les roues Roco sont moins discrètes que les roues Marklin et nécessitent d’être traitées. Les essieux maintenus avec une pince plate, ce même lavis est apposé sur les roues, flasques visibles et intérieurs, à l’exception de la bande de roulement.

Après séchage, une seconde passe est pratiquée. On laisse secher la nuit pour voir le rendu. En effet, la peinture fonce au séchage.


[size=85]Photo 533 : Les deux wagons tombereau Ho Roco en cours de patine. Source : letraindemanu sur Canalblog[/size]

La troisième passe est appliquée sur l’ensemble de la caisse et du châssis. Le plancher, visible à vide, est traité comme le plateau du plat à ranchers (voir épisode 92).

Les terres à décor sont appliquées comme sur le wagon pour le transport de chaux (voir épisode 110), puis j’applique un voile de vernis mat en bombe. Une petite goutte d’huile est déposée dans logements d’essieux avant leur remontage.





[size=85]Photos 534 à 537 : Les deux wagons tombereau Ho Roco après patine avec leur chargement de bois. Source : letraindemanu sur Canalblog[/size]

Je dispose maintenant de deux jolis tombereaux supplémentaires. Chargés de bois, ils s’harmonisent bien avec mon plat à ranchers de la même rame.

Emmanuel

[size=200]A la découverte des maquettes Joswood
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Épisode 112 - Cette marque allemande propose de jolis kits en laser-cut. Le montage de la lampisterie référence 19007 est une bonne occasion pour découvrir cette gamme de maquettes en carton et carton-bois.

Pour assembler cette maquette, il vous faut :

  • Un cutter fin à lame impérativement neuve. L’idéal est même un bistouri chirurgical pointu pour dégrapper les pièces.
  • De la colle à bois prise rapide,
  • Cure-dent pour l’application de la colle dans les jonctions de pièces et pinceau dédié pour le collage des pièces superposées.

La pochette plastique renferme dix planches de pièces en carton et carton-bois, une feuille rhodoïd pour les vitrages et une notice de montage. Attention à la feuille de rhodoïd : Sans doute par effet électro-statique, la mienne est restée dans la pochette plastique et c’est seulement en fin de montage que je me suis aperçu de son absence. Trop tard !


[size=85]Photo 538 : Pièces de la maquette Joswood 19007. Source : letraindemanu sur Canalblog[/size]

Une maquette simple pour découvrir

La notice est très bien faite avec des photos. Le montage se réalise en une dizaine d’étapes. La maquette est composée d’une structure en carton et d’un habillage en carton-bois.

Le montage est simple. Le collage des pièces se fait avec de la colle vinylique déposée au cure-dent pour les jonctions de pièces et au pinceau dédié pour les collages de superposition.

En photos, les différentes étapes :


[size=85]Photo 539 : Étape de montage de la maquette Joswood 19007. Source : letraindemanu sur Canalblog[/size]

L’assemblage ne m’a pas posé de problème particulier. Il faut être un peu plus méticuleux car les pièces sont plus fragiles qu’avec une maquette plastique. Les jonctions de pièces sont très pécises et la construction finale est finalement plus solide qu’on ne le croit grâce à la superposition des pièces.

En conclusion

Cette première expérience avec un kit Joswood est agréable. Le résultat obtenu est très satisfaisant d’autant que l’esthétique de l’habillage extérieur se suffit à lui-même et ne nécessite aucune patine. Il m’a non seulement permis de découvrir une marque qui m’était jusqu’ici inconnue, mais aussi les maquettes en laser-cut.


[size=85]Photo 540 : Maquette Joswood 19007 montéee. Source : letraindemanu sur Canalblog.
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Voilà qui ouvre de nouvelles perspectives en matière d’urbanisme.

Emmanuel

drapeau anglais petite taille.jpg Episode 112 - This German brand offers pretty kits in laser-cut. The assembly of the lamp reference 19007 is a good opportunity to discover this range of models in cardboard and cardboard.
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This first experience with a Joswood kit is nice. The result obtained is very satisfactory especially as the aesthetics of the exterior cladding is self-sufficient and requires no patina. It not only allowed me to discover a brand that was hitherto unknown to me, but also the models in laser-cut.*

drapeau allemand petite taille.jpg Episode 112 - Diese deutsche Marke bietet hübsche Kits in Laser-Cut. Die Montage der Lampenreferenz 19007 ist eine gute Gelegenheit, diese Modellreihe in Karton und Pappe zu entdecken.
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Diese erste Erfahrung mit einem Joswood-Kit ist nett. Das erhaltene Ergebnis ist sehr zufriedenstellend, insbesondere da die Ästhetik der Außenverkleidung autark ist und keine Patina benötigt. Es ermöglichte mir nicht nur eine mir bisher unbekannte Marke zu entdecken, sondern auch die Modelle im Laser-Cut.
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