La "Rue de Suède" revisitée en Marklin Digital

[size=200]2 rue de Suède[/size]

Loco-revue
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Épisode 181 - En villégiature en Bretagne, mon périple aurait été incomplet sans un détour au 2 rue de Suède à Auray où se situe la boutique LR presse.
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De passage en Bretagne pour quelques jours, d’abord dans le Finistère puis dans le Morbihan, j’ai profité de ce séjour pour faire un crochet par Auray, plus précisément au 2 rue de Suède, siège du groupe LR Presse. Une rue d’autant plus emblématique pour moi qu’elle est à l’origine du nom donné au show-case éponyme qui m’a inspiré pour mon réseau. En effet, mon module « ZI Nord » est une revisitation de cette fameuse « Rue de Suède », oeuvre originale de Yann Baude (voir LRHS n°48).


[size=85]Photo 1015 : La boutique LR presse à Auray en octobre 2018. Source : letraindemanu sur Canalblog[/size]

Une boutique bien cachée

Mon GPS, pourtant actualisé avant mon départ, m’a amené près d’un restaurant “La boucherie” dans cette vaste zone d’activité dont les noms de rues sont intitulés aux noms de pays. Certes, ce resto n’était pas bien loin de la boutique, mais il m’aura fallu malgré tout l’aide d’autochtones pour m’orienter. Finalement arrivé devant la maison d’édition à 13h30, la boutique était fermée. Pas trop étonnant à cette heure du déjeuner. Au moment ou j’allais repartir, une jeune femme, revenant sans doute de son repas, m’a bien aimablement proposé de m’accueillir avant l’heure d’ouverture. Par respect de sa pause méridienne, nous sommes allés manger dans la fameuse boucherie pour revenir vers 14h30.

La boutique n’est pas très grande et tous les produits proposés sur le site boutique LR presse n’y sont pas exposés. On y trouve bien-sûr en bonne place les différentes publication de cette maison ancestrale : livres, revues et DVD. Au milieu de la pièce trône un petit réseau “Train in Box”, ce concept initié par la maison pour offrir aux débutants une solution simple et économique afin de bien démarrer dans le modélisme ferroviaire.

Le reste des présentoirs est essentiellement occupé par des produits de décor : habillages de surfaces, végétation, personnages,…



[size=85]Photo 1016 et 1017 : La boutique LR Presse à Auray en octobre 2018. Source : letraindemanu sur Canalblog.[/size]

Avec mon petit budget, il ne m’était pas possible de dévaliser la boutique. Alors, outre le numéro du mois de Loco-Revue, j’en ai profité pour compléter ma panoplie de végétation avec un petit coffret de buissons dans la gamme MBR Model, une marque que je ne connais pas et qu’il me sera ainsi possible de découvrir. Enfin, pour garder un souvenir de cette visite, j’ai pu acheter un camion Panhard 1960 de la gamme REE Asphalte 87 en tirage limité aux couleurs de la revue créée en 1937 par Jean Fournereau. La qualité de reproduction de ce véhicule permettra de le placer au tout premier plan de mon module.

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Photo 1018 : Quelques achats à la boutique LR Presse d’Auray en octobre 2018 (La photo du camion Panhard est extraite du site internet du fournisseur). Source : letraindemanu sur Canalblog[/size]
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Alors, si vous passez par Auray, n’hésitez pas à faire un petit détour par cette boutique. Vous y serez très bien reçus. Et si vous êtes trop loin, il reste toujours la possibilité d’acheter en ligne.

Emmanuel

Bonjour,
Merci pour les nouvelles et les photos.

J’utilise les arbres MBR dans mon mini réseau des Robertmonts en remplacement des arbres Noch trop artificiels : fabrication main en Pologne autour d’un câble d’acier : qualité supérieure et rendu assez réaliste pour un prix abordable.

Pascal :sleep:

Hello Manu :wink:

Vraiment un superbe camion, tu vas faire des envieux !
Très bon choix :cheers:

Amicalement,
Vincent

Bonsoir Pascal,

MBR est une marque que je ne connais pas. Je vais découvrir dans les prochains jours puisque je vais poursuivre la végétation. Je ferai un retour d’expérience.

merci de tes visites.
Manu

Salut Vincent,

Je confirme, c’est un joli camion. Une toute petite patine devrait suffire à accentuer les creux pour un véhicule pas trop sale.
A+
Manu

[size=200]Une nouvelle enseigne de modélisme ferroviaire à Paris[/size]

Actualités

Épisode 182 - L’ouverture d’un nouveau magasin de modélisme ferroviaire est toujours une bonne nouvelle après tant de disparitions ces dernières années. " Paris-Modélisme " a ouvert récemment ses portes dans les anciens locaux de la boutique " Les Cheminots ". Métamorphose.**

La disparition du magasin " Les Cheminots " avait ému la communauté des ferrovipathes. Cette caverne d’Ali-Baba parisienne était certes un peu fouillis, mais les modélistes franciliens avaient pris l’habitude d’y trouver un peu de tout au gré des arrivages tant dans la gamme des produits neufs, mais plus encore dans le rayon des occasions. Alors forcément, la fermeture de cette enseigne pour raisons économiques avait légitimement inquiété les modélistes, surtout après tant de fermetures ces dernières années. " Paris-Modélisme " a repris la suite des activités dans le cadre de la liquidation judiciaire de l’enseigne précédente et des négociations qui en ont découlé cet été.

[size=150]Pour éviter toute redondance, cet article a été publié dans la rubrique NEWS
[Une nouvelle enseigne de modélisme ferroviaire à Paris)[/size]

[size=200]Astuce : Contrôle optique au TCC d’un aiguillage Marklin analogique[/size]

Pose de la voie

Épisode 183 - Alors que ce réseau s’inscrit dans une démarche à budget contraint et qu’il était donc prévu uniquement des aiguillages manuels, le décor m’oblige à modifier mes objectifs.

Pour ceux de mes lecteurs qui suivent ce blog depuis sa création, ils savent que ce projet d’appartement est soumis à une contrainte majeure : le budget. Les moyens qui lui sont alloués sont modestes et m’obligent à des choix. Parmi eux, le coût de la motorisation des six aiguilles élancées m’avait incité à les manoeuvrer à la main, d’autant que la surface est petite. C’était sans compter sur le décor dont, à l’époque, je n’avais encore qu’une très vague idée.


[size=85]Photo 1022 : Moteur d’aiguillage Märklin 75491 pour aiguilles élancées Märklin voie K. Source : letraindemanu sur Canalblog[/size]

Un aiguillage inaccessible

L’aiguille de l’entrée Est se trouve au fond du module « ZI Nord », dont le niveau zéro se trouve à 145 cm de haut. C’est une hauteur qui convient bien à ce projet conçu comme une vitrine murale pour un tracé prévu en tour de pièce. Je m’étais expliqué sur ce choix dans l’épisode 78 titré « Changeons de point de vue : Prenons un peu de hauteur ». Mais la mise en place progressive du décor m’oblige à modifier le cahier des charges.

La sortie Est nécessite d’être masquée par un élément de décor imposant afin de cacher l’accès à la coulisse. Notamment le bâtiment de mon négociant en combustible « société Laure Noirt », prochainement complété d’un mur et pourquoi pas un arbre, rend mon aiguillage totalement inaccessible sans risquer d’abimer le décor à chaque manipulation. J’ai donc décidé de le motoriser.


[size=85]Photo 1023 : Le moteur d’aiguillage Märklin 75491 et le dessous du TCC de ZI Nord. Source : letraindemanu sur Canalblog.[/size]

La particularité des aiguilles Märklin et leur mécanisation spécifique laissent peu de choix sauf à modifier le mécanisme, intervention qui nécessite un savoir-faire que je ne maîtrise pas. Comme de toute façon le moteur ne sera pas visible, j’ai opté pour le moteur Märklin 75490, même s’il bénéficie d’une réputation très mitigée sur nos forums.

Contrôle de position au TCC : efficace et économique

Pour éviter de charcuter un aiguillage réputé pour sa fragilité électrique, mais souhaitant disposer malgré tout d’un contrôle de position au TCC (Tableau de commande et de contrôle), je vais ici utiliser la technique présentée récemment par un modéliste sur les réseaux sociaux, à laquelle je vais adjoindre une petite touche personnelle avec des leds. Et c’est d’une redoutable simplicité et efficacité pour un coût quasi-nul. Je vais ici piocher dans ma réserve de composants offerts par Jeanne et Olivier : Deux leds vertes, deux résistances 1khom ou supérieur, un poussoir à contact furtif et un inverseur bipolaire.


[size=85]Photo 1024 : Les commandes et controles de l’aiguillage : Deux leds, un inverseur bipolaire et un poussoir. Les plus assidus auront remarqué la mauvaise position de l’interrupteur qu’il me faut retourner de 180°. Source : letraindemanu sur Canalblog.[/size]

En analogique, un aiguillage Märklin se branche sur du 16v ca (sortie accessoires du transfo) et se déclenche avec deux boutons poussoirs à contact momentané, reliés au neutre. Généralement, un poussoir rouge pour la position déviée et un poussoir vert pour la voie directe. Pour obtenir un contrôle visuel au TCC, il me faut un seul bouton poussoir pour déclencher l’impulsion et un inverseur bipolaire : le premier pôle, directement alimenté au neutre par le bouton poussoir, permet de visualiser la direction du dernier mouvement. Le second pôle permet l’éclairage de leds qui complètent cette information visuelle. Ce montage électrique économique n’a qu’un seul inconvénient, puisqu’il ne permet pas de contrôler le mouvement complet de l’aiguille (contrôle de fin de course).

Pour ceux que cela interesse, voici le plan de câblage. Les codes couleurs n’ont pas été respectés pour cause de feutres usés. Mais le branchement est assez simple, donc vous devriez vous y retrouver. Le résultat est probant et peu onéreux. Même si c’est moins sophistiqué que du digital, c’est amplement suffisant pour ma zone industrielle.


[size=85]Photo 1025 : plan de câblage du moteur d’aiguillage. Source : letraindemanu sur Canalblog.[/size]

Ce travail fait, je vais pouvoir poursuivre mon décor chez mon négociant en combustibles.

Emmanuel

Facile, simple et efficace.
Très bonne astuce Manu.

[size=200]Un train, une région : 5 rue du Martyr du chat[/size]

Histoire (fictive) /Uchronie

Épisode 185 - Les modélistes ferroviaires sont de véritables « créateurs de monde » et la plupart d’entre eux donnent des noms aux personnages de leur réseau ou aux sites qu’ils représentent, souvent à titre mémoriel à l’égard de parents disparus ou de lieux ayant marqué leur existence. Dans cette nouvelle rubrique, j’aborderai l’histoire fictive de la « Compagnie Industrielle et Commerciale », son implantation dans la région, son implication dans l’essor économique du territoire et son évolution au fil du temps. J’en profiterai pour vous présenter la ville, ses habitants et ses acteurs économiques. Bienvenue dans mon monde uchronique, mais pas aussi imaginaire qu’il n’y paraît.

« Le modéliste est un créateur de monde » affirmait Alain Sénès, alias «* moduleho* » sur les réseaux sociaux, dans un édito daté du 26 septembre 2008 et publié sur le site « Voie de débord ». Une grande partie d’entre nous créons un monde utopique et nos villes, nos gares et nos personnages portent souvent des noms de personnes ou de lieux ayant marqué nos vies. Certains modélistes vont loin dans la démarche jusqu’à retracer une histoire complète et cohérente, jusqu’à rédiger un véritable règlement de la compagnie. D’autres accréditent leurs histoires sous formes de vidéos ou de BD. Certaines vidéos de Renaud Yver sont ainsi particulièrement savoureuses tant il nous plonge dans son univers avec truculence et humour.

journal 3.jpg
Sur nos forums, nous trouvons des auteurs créant des bandes dessinées voire, pour certains, nous proposer des énigmes policières. Bref, dans notre passion, l’imagination n’a aucune limite, à l’instar du journal ci-dessus, extrait du fil « Dépôt canapé » sur le forum LR Presse.

L’uchronie permet ici bien des fantaisies, l’uchronie étant une forme littéraire qui consiste, à partir d’un évènement historique ayant réellement existé, à lui donner un développement différent et donc à créer un monde parallèle totalement imaginaire.

L’avancée des travaux de décor dans la société «* Laure Noirt* » est pour moi l’occasion de vous présenter ce négociant en combustibles. La société est domiciliée au 5 rue du Martyr du chat, sur la droite de cette route qui traverse les voies ferrées.

Emmuré vivant

Une explication s’impose tout d’abord sur le nom de cette rue, pour le moins surprenante. Il faut remonter déjà à plusieurs années pour trouver trace de ce dramatique fait divers dans les archives municipales. Ainsi un ancien numéro du journal communal « Marcilly infos » daté du 6 août 1951 évoque-t-il une délibération du conseil municipal à propos de cette rue de la zone industrielle, anciennement nommée « Rue de la République » et rebaptisée en souvenir de ce chat mort dans d’atroces souffrances. Le mensuel communal relate ainsi le calvaire de la pauvre bête, survenu au décours de la tentative de suicide de Simone Delaire, le jour de son 93e anniversaire.

Ainsi le journal municipal explique les origines de cette délibération : « *En ce mois estival caniculaire, cette marcillaise, ancienne secrétaire d’une compagnie d’aviation, avait décidé de mettre fin à ses jours en absorbant tous les médicaments de sa pharmacie. Sauvée in extrémiste par les sapeurs-pompiers du centre de première intervention de la ZI, son hospitalisation en long séjour rendit nécessaire la vente de son pavillon situé Rue Jules Valles, sur les hauts de la commune. Obligés de vendre son pavillon pour subvenir à ses besoins en hospitalisation de longue durée, ses petits-enfants durent se résoudre à confier la vente à l’étude de Maitre Grondin, notaire implanté depuis trois générations sur la commune. Les circonstances pénibles de la situation leur fit omettre de signaler la présence d’un chat qui leur rendait souvent visite lors de leurs passages chez la grand-mère. La petite bête, dont le voisin propriétaire était atteint d’une maladie inconnue à l’epoque, avait en effet repéré la voiture des enfants et profitait de chacune de leurs visites pour venir chercher un câlin et quelques friandises. Le sort de la bête se scella quelques semaines plus tard lorsqu’elle pénétra dans le pavillon, comme à son habitude, lors de la visite de potentiels acheteurs avec l’agence immobilière. S’étant glissée discrètement dans la maison sans que personne ne la remarque, elle se fit enfermer au départ des visiteurs. Emmurée vivante dans une bâtisse sans eau et aux volets clos, la pauvre bête succomba de soif et de faim. Son cadavre desséché fut retrouvé quelques semaines plus tard *» [1].

Entreprise Laure Noirt

Cette société s’implanta sur le territoire de la commune en 1863 à l’initiative d’Emile Noirt [2]. Financier de profession, il avait flairé là une bonne affaire et avait investi tant dans le commerce que dans la " Compagnie des transports régionaux ", ancêtre de la CIC. S’il reste peu d’archives de l’époque, on retrouve trace de l’entreprise dans les années 30 grâce à une photographie montrant le premier bâtiment de la société.

Il s’agissait de l’ancienne halle à marchandise de la gare voisine rachetée à la toute jeune " Compagnie Industrielle et Commerciale " pour un prix très modique. La jeune compagnie, créée au lendemain du premier conflit mondial et qui comprit très vite la concurrence annoncée des transporteurs routiers, décida de vendre une partie de son patrimoine pour fidéliser de gros clients sur son réseau ferré. Une vision clairvoyante puisque l’entreprise d’Emile Noirt se développa rapidement : Dans le cadre de la nécessaire reconstruction au lendemain de la Seconde guerre, son fils aîné, Pierre Noirt, en profita pour poser une aiguille et dédoubler l’embranchement. Ainsi, il pu augmenter la capacité de stockage des wagons alors que l’entreprise diversifiait son offre commerciale.

La société Laure Noirt est aujourd’hui, dans les année 60, un gros client de la CIC avec l’acheminement régulier de wagons divers : tombereaux de charbon, tombereaux de rondins de bois, plats pour les fûts d’huile, couverts de bidons et citernes de fioul et de gasoil à usage agricole.
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Quelques infos sur le site**

Le bâtiment principal est une création personnelle à base de Carton-Plume © gravé. J’avais décris sa construction dans l’épisode 116 titré « Le bâtiment du négociant en combustibles ». La halle à marchandises, transformée en entrepôt, est une maquette Faller 120154, offerte à Noël dernier et dont la plupart des pièces ont été repeintes.

La palissade arrière, qui masque le moteur d’aiguillage, est réalisée en bois de cagette, gravé, repeint et patiné. J’avais évoqué de telles palissades dans l’épisode 36 " Boite à fromage pour palissade en bois ". La fosse de la cuve est construite en carton plume dont les faces visibles du spectateur ont été pelées. Le tout est peint en gris béton (mélange 50% blanc + 25% noir + 25% ocre). La citerne est une cuve de récupération offerte par Jeanne et Olivier et qui trouve ici une seconde vie.


La cour de l’entreprise est en terre naturelle stérilisée au four. Afin de varier les teintes, cette terre, plus claire, a été prélevée sur un autre site que la terre utilisée pour mon décor précédent. Cette terre est appliquée à sec. Plusieurs véhicules miniatures y ont roulé afin de figurer les traces de pneus. Puis humidification au brumisateur et encollage à la colle vinyllique diluée. J’ai profité de cette étape pour combler les espaces entre les dalles de pavés et les rails et insérer des herbes folles.


Les arbres sont des FR décor ref 3351 achetés, lors de ma visite à Paris-Modelisme, 7 € le lot de deux. Ils ont été choisis pour leur rapport qualité/prix et leur hauteur qui masque en partie le départ vers la coulisse. Seul les troncs ont été repeints en ombre brûlée et les racines recouvertes d’un peu de terre. Ils ne sont pas aussi beaux que des productions de chez Sylvia ou Arboris miniature, mais ce n’est pas le même prix non plus. Cette gamme FR est idéale pour des arbres de second plan.

Les buissons MBR 50-5007, achetés chez Loco-Revue lors de mon passage à Auray, ont été testés à cette occasion. Ils sont du plus bel effet et pratiques à utiliser. J’ai seulement raccourci leur hauteur par la base.

L’éclairage des bâtiments a été installé. Il sera branché lorsque j’aurais trouvé trois ou quatre vieux lampadaires pour éclairer cette grande cour.

Appels aux modélistes

Si éventuellement un modéliste est en mesure de me fabriquer les plaques de rue et les enseignes de cette entreprise, je suis preneur. Vous pouvez me contacter par le biais du formulaire de contact du blog. Merci d’avance.

Emmanuel

[size=85]*[1] - Cette dramatique histoire est malheureusement vraie puisqu’elle retrace la vie de ma grand-mère maternelle. Je me souviens parfaitement m’être inquiété pour ledit chat le soir-même de la visite, l’agence immobilière nous ayant téléphonés. Mon épouse me rassura et surtout la flemme d’affronter les embouteillages franciliens sur l’A86 pour vérifier mes craintes scellèrent définitivement le sort de la pauvre bête. C’était il y a quinze ans. Cette histoire méritait bien que je lui accorde une rue dans mon univers.

[2] Emile est le véritable prénom de mon grand-père paternel. Il était gestionnaire de grands comptes dans une banque qui existe encore de nos jours sous une autre appellation. Pierre était mon oncle. Un passionné de voitures, en particulier des Peugeots. Va falloir que je pense à trouver une 504 pour mettre dans la cour.*[/size]

Bonjour Manu,
Bonjour à tous,

Magnifique comme toujours !
Pour tes plaques et numéros, je peux te les créer sous Coreldraw en fonction de ce que tu souhaites et t’envoyer un fichier .pdf que tu pourras imprimer avec une simple imprimante jet d’encre. Est-ce cela que tu recherches ?
Tu peux me contacter par mail si tu veux.

Amicalement,
Vincent

Bonjour Manu,

Comme toujours, la lecture de tes épisodes où tu nous embarques dans ton univers est toujours aussi captivantes…

Bravo pour la qualité de tes réalisations !!!

Bonne continuation…

Thomas

eventuellement, pourquoi pas ?

Quand tu veux Manu :wink:

Bonjour,

c’est tout simplement excellent, tant le texte que les photos.

Félicitations.

Pascal :sleep:

Notre ami Vincent a eu la gentillesse de me confectionner les plaques de rue, les numéros et les enseignes.

lesquelles préférez vous ?

Manu

Bonjour Manu,

Pour les plaques de rue je ne sais pas trop , peut être qu’à l’époque de la rue de suède les plaques étaient plutôt bleues clair ? à vérifier

Pour la société, il me semble que celle en bas à gauche est plus en rapport avec l’époque.

C’est avec plaisir Manu. :wink:

Et n’hésite pas, je peux modifier les styles et couleurs, tu n’as qu’à me le dire.
Idem pour les dimensions, je peux retravailler tout selon tes désirs.

Si je peux aider d’autres copains, ce sera avec plaisir et gracieusement bien entendu, peu importe l’échelle (je pense à Jérôme par exemple).
Je sais vous fournir le résultat aux formats classiques PDF, JPEG, PNG, etc … ou au format vectoriel CDR (CorelDraw)

Hello les amis,

En avant première avec les réalisations de Vincent


Manu

Super Manu :cheers:

Elles donnent vraiment bien, tant les affiches que tu as patinées (je fais pareil aussi) que la plaque de rue.
Très content d’avoir pu contribuer modestement à ton réseau. Et n’hésite pas quand tu as besoin de créations graphiques.

Amicalement,
Vincent

Merci pour tes créations.

Pour la plaque de rue, je pense que la taille en dessous aurait été plus réaliste, mais il me fallait une loupe pour la lire. Je pense que là c’est un compromis.

Sur ce, je retourne à la patine de la BR 80.

Merci encore
Manu