Gare cachée

Salut les gars :smiley:

Dans ma gare cachée, j’envisage de mettre des k84 à la place de signaux pour l’arrêt des trains.

Mais me faut il, par voie (Il y en aura 4), des modules de ralentissement 72442 ?

Merci pour vos réponses les gars

Amical bonjour du Québec :cheers: où le printemps tarde à venir :frowning:

Serge

Salut !

Comme c’est une gare cachée, l’utilisation de module de ralentissement me parait être inutile, il suffit de les faire stopper net.

Bonjour Serge,

J’abonde dans le même sens que Seb, il n’y a pas besoin de module de freinage dans une partie cachée. La coupure de l’alimentation est bien suffisante. Le comportement sera équivalent à celui que l’on a en manipulant l’arrêt d’urgence.
Les locos réagissent plus ou moins brutalement sur la coupure d’alimentation. J’ai une 30000 et 37030 sur mon réseau.
La 30000 s’arrête nette sur le rail de coupure précédent le signal.
La 37030 qui possède une vis sans fin pour la transmission vers les roues s’arrête moins brutalement, mais encore trop vite pour un signal sur voie visible :frowning:

Amitiés bretonnes

:trainregard:

Jean-Paul

Salut les gars :smiley:

Dans ma gare cachée, j’envisage de mettre des k84 à la place de signaux pour l’arrêt des trains.

Mais me faut il, par voie (Il y en aura 4), des modules de ralentissement 72442 ?

Merci pour vos réponses les gars

Amical bonjour du Québec :cheers: où le printemps tarde à venir :frowning:

Serge

Bonsoir Serge,

En effet, les modules de freinage ne sont utiles que pour les arrets visible, donc dans une gare cachée cela ne me parait pas nécessaire et augmentent le cout du réseau…

Yannick

Merci les gars :smiley:

Je vais suivre vos conseils :smiley:

Amical bonjour du Québec :cheers:

Serge

Merci les gars :smiley:

Je vais suivre vos conseils :smiley:

Amical bonjour du Québec :cheers:

Serge
Et…amical bonsoir de France et de la région Parisienne. il fait nuit ici :zzzz:

Yannick

Bonsoir,

Attention un peu quand même, j’ai quelques locos qui s’arrêtent tellement net que les wagons qui suivent leur montent dessus :laughing:

Et au démarrage les attelages s’arrachent des boitiers NEM pour peu que la rame soit un peu longue :no:

Donc il y a intérêt à ce que dans la gare cachée les trains circulent lentement.

Bonne soirée :sunny1:

Et au démarrage les attelages s’arrachent des boitiers NEM pour peu que la rame soit un peu longue :no:
Au démarrage les locos repartent suivant leur rampe d’accélération non ? :scratch:

Et au démarrage les attelages s’arrachent des boitiers NEM pour peu que la rame soit un peu longue :no:
Au démarrage les locos repartent suivant leur rampe d’accélération non ? :scratch:
A condition qu’elles en aient une :laughing:

Les vieux décodeurs n’en n’ont pas …

Tu me diras que dans ce cas les modules de freinage ne font rien.

Le mieux est un logiciel sur PC qui freine et accélère chaque rame comme ferait un mécanicien.

Bonne journée :sunny1:

:smiley: Bonjour…

Bien vu ,jean louis… :sunny:
avec un arrét brutal, les wagons ont tendances à dérailler ou à se décrocher… :vieux:

Et en abaissant la tension a l’aide de diodes avant la zone d’arrêt ça pourrait atténuer le “choc” :question:

Déjà si la gare cachée n’est pas en courbe le risque de déraillement me parait faible, a moins d’avoir des longs trains avec des locos trop rapide :bounce:

Salut les gars :smiley:

La décoration n’est pas pour tout de suite :smiley:
J’aurai le temps de faire des essais comme qui dirait en plein air :smiley:
Merrci pour vos conseils

Amical bonjour du Québec :cheers:

Serge

Et en abaissant la tension a l’aide de diodes avant la zone d’arrêt ça pourrait atténuer le “choc” :question:
Abaisser la tension en digital n’apporte pratiquement rien si les décodeurs ont une compensation de charge.

La compensation de charge asservit la vitesse de la locomotive, elle tient compte de la charge du moteur, mais aussi de la tension d’alimentation et si cette tension chute, le décodeur réagit en allongeant la durée du signal PWM qu’il envoie au moteur de façon à garder une vitesse constante; cela permet aussi d’éviter qu’une loco ralentisse sous l’effet de la chute de tension quand d’autres locos circulent.

Bonne journée :sunny1:

avec un arrét brutal, les wagons ont tendances à dérailler ou à se décrocher… :vieux:

Salut Marcus diplodocus,

Et oui, ceux qui ont roulé en analogique se souviennent …

Le bon vieux moteur universel Märklin ne pose pas trop de problème, il a une bonne réserve d’inertie.

Mais les machines équipées de moteurs type Faulhaber, Maxon, Roco, etc … ont une tendance à un arrêt très brutal qui même en ligne droite fait dérailler les wagons pratiquement à tous les coups … d’ailleurs il n’est par rare que ça déraille pour cette raison dès qu’il y a une micro coupure de courant …

J’ai des zones d’arrêt sans zone de ralentissement sur mon réseau et je n’ai pas constaté de déraillements intempestifs des wagons lors des arrêts aux feux rouges, même avec des trains de 25 ou 30 wagons. Bien sûr, j’ai quand même évité de faire un arrêt en forte descente et en courbe serrée.

Et en abaissant la tension a l’aide de diodes avant la zone d’arrêt ça pourrait atténuer le “choc” :question:
Abaisser la tension en digital n’apporte pratiquement rien si les décodeurs ont une compensation de charge.

La compensation de charge asservit la vitesse de la locomotive, elle tient compte de la charge du moteur, mais aussi de la tension d’alimentation et si cette tension chute, le décodeur réagit en allongeant la durée du signal PWM qu’il envoie au moteur de façon à garder une vitesse constante; cela permet aussi d’éviter qu’une loco ralentisse sous l’effet de la chute de tension quand d’autres locos circulent.

Bonne journée :sunny1:

Bonjour,
Oui, c’est bien vrai…Mais dans une certaine limite. Quand la tension chute, le signal PWM compense , jusqu’à 100% de rapport cyclique. Si la tension continue de baisser, le moteur ralentit, faute de puissance disponible suffisante.
Une tension digitale de + et - 10V ou 12V (20V ou 24V crête à crête) devrait convenir pour ralentir efficacement les locos (essayer plusieurs locos pour s’assurer que c’est suffisant et qu’aucune loco ne s’arrête.
On peut utiliser des diodes zeners pour éviter le chapelet de diodes.
Si l’on veut une solution 100% marklin, bien chère, on peut utiliser plein de circuits de ralentissement MARKLIN!
Verifier aussi que ça se passe bien avec les locos mfx: on ne sait jamais avec cette géniale invention!

…Abaisser la tension en digital n’apporte pratiquement rien…
Bonsoir Jean-Louis, bonsoir à tous.

Malgré mon ignorance en la matière, j’imagine qu’en analogique, abaisser la tension dans une ou plusieurs zones avant et après la zone d’arrêt doit être possible et doit permettre au train de s’arrêter, puis de redémarrer, plus progressivement.

Mais, concrètement, comment obtient-on ces baisses de tension ?
Faut-il mettre des résistances sur la ligne d’alimentation ?
Dans ce cas, quelles valeurs doivent ou peuvent avoir ces résistances ?

Quels risques ce genre de montage peut-il entrainer ?

Merci d’avance

Bonjour Christian
Pour répondre à votre question de vitesse en analogique.
La vitesse des moteurs est fonction de la tension, c’est physique et je n’ai rien inventé.

Remarque 1 : le curseur du transfo passe de 0 à une valeur minimum de tension pour laquelle la locomotive démarre toujours : ce qui fait qu’il n’y a jamais une loco qui reste immobilisée avec un courant de circulation qui est insuffisant pour la faire démarrer ! Il y aura donc une force contre électromotrice et ventilation.

Remarque 2 : avec des zones alimentées par des tensions différentes, quand un frotteur se trouve à cheval sur les deux circuits : les alimentations sont mises en parallèle franchement car le frotteur est en laiton et non pas en carbone comme un balai qui ferait commutation !

Remarque 3 : si l’alimentation est unique et que la réduction de tension est obtenue par diodes ou résistances, imaginez la locomotive dans la zone de vitesse réduite et le frotteur du fourgon qui arrive dans la même zone : il y aura alors un soubresaut de la loco qui sera alimentée au travers du frotteur fourgon.

Remarque 4 : la diode Zener est attrayante mais elle doit dissiper en proportion de sa tension ! De plus elles sont plus fragiles et plus chers que les diodes classiques.
Ce qui me fait peur avec les diodes Zener ou classiques, ce sont les courts-circuits malgré la protection intégrée du transfo. Une jonction diode peut être détruite et le résultat peut être soit un court-circuit soit une interruption ! Or un moteur alternatif est fait (OPTIMISE) pour travailler en alternatif et suivant le cas de jonction foutue ce ne sera plus du sinusoïdal ce qui donnera une composante de courant continu !

optimisation en alternatif : la carcasse et l’induit, c’est-à-dire le circuit magnétique est constitué de tôles empilées pour réduire les courants de Foucault dans le fer.

optimisation en continu : le courant est plus difficile à coupé car il ne passe pas par zéro comme en alternatif. D’ailleurs, un disjoncteur pour moteur de puissance en courant continu s’appelle un DUR : Disjoncteur Ultra Rapide et quand il déclenche c’est comme un coup de canon ! Ce disjoncteur est dans une loge grillagée pour qu’on ne puisse pas s’y approcher en plus de la sécurité pour la haute tension.

Le montage de 2 Zener identique se fait en série mais en sens inverse.
Il existe néanmoins un montage simple associant Zener et transistor 2N3055 pour booster la puissance de la Zener.
Le montage des diodes classique se fait en parallèle et tête bèche par paire.
La résistance bobinée étant seule, si elle grille il n’y aura plus rien qui passe.
De toute façon : il ne faut pas réduire les pattes qui aideront à dissiper la chaleur !

Solution proposée :
Peut être utiliseriez vous 2 transfos, un pour le circuit, le second pour la gare cachée réglé sur une tension plus faible avec un circuit par voie commandé par bouton ?
Si un train ne fait que traverser la gare, pas de problème, le bouton de l’alimentation de son circuit reste enclenché.
Si un train doit s’arrêter vous pouvez régler le curseur et couper par le bouton ha doc . . .
A noter que les curseurs des transfos sont en carbone mais il faut quand même effectuer les branchements en phase pour les circuits voies !

Si vous souhaitez quand même un pallier de réduction de vitesse :
Je suppose que la puissance nominale des locos est comprise entre 5 et 15 Watts et que la tension en charge du transfo varie de 5 à 15 volts.
Soit une loco de 7.5 Watts et la tension 15 Volts on a 0.5 Ampère.
Si on veut une chute de tension de 5 volts : il faut UNE résistance BOBINEE de 5/0.5 = 10 ohms de 2.5 Watts minimum
On peut utiliser plusieurs résistances en carbone en parallèle . . .
On peut utiliser plusieurs résistances bobinées en série . . .
On peut aussi combiner diodes et résistance . . .
En combinant plusieurs résistances elles seront de plus petite puissance et l’ajustement sera aisé.

Pour ce qui est de l’utilisation de diodes en digital : j’ai peur que la partie signal ne passe pas à la loco à partie d’une certaine réduction de tension à cause de synchronisation par passage par zéro vu !

Merci Christian :cheers:
Merci pour vos remarques à tous :grad:
Patrice :astonished:

Bonjour Patrice,

Je commence par ma solution que je préconise, ensuite vu que tu demandes des remarques, j’en ai quelques unes.

A l’époque de l’analogique j’utilisais une solution avec un thyristor qui coupe un bout de la sinusoïde.

J’avais fait un BAL et chaque tronçon pouvait être alimenté directement ou par le circuit à thyristor.
J’utilisais un relai pour commuter d’une alimentation sur l’autre et la commutation ne se faisait qu’une fois la rame entièrement engagée sur le tronçon, donc pas de problème de court circuit au passage d’un frotteur.
Un thyristor coupe un bout de la sinusoïde; on reste donc en phase et on ne dissipe aucune énergie, le thyristor fonctionne comme un interrupteur ultra rapide qui coupe 50 fois par seconde un bout de la sinusoïde; c’est ce qu’on utilise dans les gradateurs de lumière; le montage est très simple; si je le retrouve je le posterai.
Un gros avantage est qu’on ne change pas la tension, donc il n’y a pas de risque d’avoir une machine qui s’arrête parce que la tension est trop faible, mais on retire un peu d’énergie au pied de la sinusoïde et comme le moteur est sensible à l’intégrale de l’énergie qu’on lui apporte il réduit sa vitesse.

Maintenant les remarques:

La vitesse des moteurs est fonction de la tension, c’est physique et je n’ai rien inventé.

Vrai en analogique, partiellement vrai en digital, mais partiellement faux aussi !!
En digital la tension du moteur varie avec le rapport cyclique du signal PWM (Pulse Width Modulation) envoyé au moteur par le décodeur.
Si le décodeur est équipé d’une compensation de charge, celle ci compensera toute chute de tension par une augmentation du rapport cyclique du signal PWM.

Donc en digital, la réduction de tension aura des résultats aléatoires.

Remarque 1 : le curseur du transfo passe de 0 à une valeur minimum de tension pour laquelle la locomotive démarre **toujours : ce qui fait qu’il n’y a jamais une loco qui reste immobilisée avec un courant de circulation qui est insuffisant pour la faire démarrer ! **Il y aura donc une force contre électromotrice et ventilation.

Si mes souvenirs sont bons, en analogique beaucoup de locomotives ne démarrent pas au minimum de tension, le moteur ronfle et elles restent immobiles.
Il en est de même en digital, certaines démarrent au cran 1, mais d’autres comme les DElta ont besoin d’arriver au cran 3 ou 4, voire 5 pour démarrer.

Remarque 2 : avec des zones alimentées par des tensions différentes, quand un frotteur se trouve à cheval sur les deux circuits : les alimentations sont mises en parallèle franchement car le frotteur est en laiton et non pas en carbone comme un balai qui ferait commutation !Si les alimentations sont de même type et en phase, ce n’est pas très grave techniquement, on met juste en parallèle 2 sources.

Remarque 3 : si l’alimentation est unique et que la réduction de tension est obtenue par diodes ou résistances, imaginez la locomotive dans la zone de vitesse réduite et le frotteur du fourgon qui arrive dans la même zone : il y aura alors un soubresaut de la loco qui sera alimentée au travers du frotteur fourgon.
C’est sûr, mais vu l’inertie des machines je ne sais pas si c’est très grave.

Remarque 4 : la diode Zener est attrayante mais elle doit dissiper en proportion de sa tension ! De plus elles sont plus fragiles et plus chers que les diodes classiques.
Ce qui me fait peur avec les diodes Zener ou classiques, ce sont les courts-circuits malgré la protection intégrée du transfo. Une jonction diode peut être détruite et le résultat peut être soit un court-circuit soit une interruption ! Or un moteur alternatif est fait pour travailler en alternatif et suivant le cas de jonction foutue ce ne sera plus du sinusoïdal ce qui donnera une composante de courant continu !
Le montage de 2 Zener identique se fait en série mais en sens inverse.
Il existe néanmoins un montage simple associant Zener et transistor 2N3055 pour booster la puissance de la Zener.
Le montage des diodes classique se fait en parallèle et tête bèche par paire.
La résistance bobinée étant seule, si elle grille il n’y aura plus rien qui passe.
De toute façon : il ne faut pas réduire les pattes qui aideront à dissiper la chaleur !

Un transistor est polarisé donc en alternatif, il vaut mieux éviter son usage.
En alternatif il vaut mieux un thyristor.

Solution proposée :
Peut être utiliseriez vous 2 transfos, un pour le circuit, le second pour la gare cachée réglé sur une tension plus faible avec un circuit par voie commandé par bouton ?
Si un train ne fait que traverser la gare, pas de problème, le bouton de l’alimentation de son circuit reste enclenché.
Si un train doit s’arrêter vous pouvez régler le curseur et couper par le bouton ha doc . . .
A noter que les curseurs des transfos sont en carbone mais il faut quand même effectuer les branchements en phase pour les circuits voies !
Je crois que les contacts des curseurs de transfo sont en argent, mais bon c’est un détail
Il faut faire attention au branchement de 2 transformateurs,** il y a risque d’électrocution !!!**

Sous certaines configurations, on peut retrouver une tension supérieure à 220 volts sur la prise d’un transfo !!

Imaginez un transfo réglé pour donner du 15 volts et un second réglé pour donner 8 volts …
Alimentez les deux transfos …
Mettez un frotteur à cheval sur les deux sections. Si les transfos sont en phase, ce n’est pas très grave …
Maintenant débranchez le transfo qui donne du 8 volts et mesurez ce qu’il y a sur les broches de sa prise…

Je vous fais le calcul : V = 220 * 15 / 8 = **412 Volts **…

Il vaut mieux ne pas y mettre les doigts …

Personnellement je déconseille d’utiliser 2 transformateurs si on a des doutes sur ce qu’on fait !!!

Si vous souhaitez quand même un pallier de réduction de vitesse :
Je suppose que la puissance nominale des locos est comprise entre 5 et 15 Watts et que la tension en charge du transfo varie de 5 à 15 volts.
Soit une loco de 7.5 Watts et la tension 15 Volts on a 0.5 Ampère.
Si on veut une chute de tension de 5 volts : il faut UNE résistance BOBINEE de 5/0.5 = 10 ohms de 2.5 Watts minimum
On peut utiliser plusieurs résistances en carbone en parallèle . . .
On peut utiliser plusieurs résistances bobinées en série . . .
On peut aussi combiner diodes et résistance . . .
En combinant plusieurs résistances elles seront de plus petite puissance et l’ajustement sera aisé.
Pas de remarques particulières, je suis d’accord, mais ce n’est pas très écologique :laughing:

Pour ce qui est de l’utilisation de diodes en digital : j’ai peur que la partie signal ne passe pas à la loco à partie d’une certaine réduction de tension à cause de synchronisation par passage par zéro vu !

Une diode en digital :

  • dans un sens : plus de signal digital …
  • dans l’autre sens : une chute de tension insignifiante qui ne fera aucun effet …

Je pense (ce serait à vérifier) qu’en faisant chuter la tension, le décodeur compense et le résultat est qu’on fait augmenter l’intensité dans les fils.

Bonne journée :sunny1:

Bonsoir Jean-Louis

Je répondais à Christian dans le cadre de l’analogique et j’ai émis une hypothèse sur le digital en fin de message.

Vous avez raison pour la mise en // de transfo mais dans le cas de Christian les portions de voies de la gare cachée seraient isolées par rapport au reste du circuit par un petit carton entre les lamelles. Il y a mise en // via le passage des frotteurs et c’est vrais que si la fiche 220 est retirée de la prise il y a de la tension dessus à cause du secondaire. On ne peut donc pas retirer une des fiches 220 et de plus une fois que le montage est fait pour que les secondaires soient en phase on ne peut pas non plus retirer la prise 220 d’un des transfos, la retourner et la rebrancher !

Pour le montage avec le transistor et la Zener, il faut bien entendu protéger le montage par une diode en // qui shunte le courant de l’autre sens.

Les montages avec Thyristors sont difficiles à mettre au point. Si je me souviens bien c’est par déphasage à l’amorçage que l’on règle l’équivalent de tension efficace. C’est encore plus difficile avec des triacs qui ne donnent pas nécessairement des résultats identiques avec les deux alternances, donc remplacer un triac par un thyristor dans un pont de diodes peut commander un circuit alternatif, il y a juste que deux diodes et le thyristor comme jonctions passantes en fonctionnement.

Je ne sais pas bien comment le signal digital est synchronisé avec le passage à zéro de tension du 50 Hz, mais si on utilise des diodes : une alternance n’est pas écrêtée par le dessus mais c’est comme si on retirait une tranche horizontale par le dessous et donc le passage par zéro n’est plus nul mais est d’autant plus long que l’on a voulu réduire la tension : il se pourrait que le signal digital serait perdu en début et en fin ce qui donnerait que certaines locos fonctionneraient et d’autres pas ? Je me demande si ceci contient une parcelle de vérité ? Je suis têtu. :cherry:

Merci pour vos remarques utiles et permettez de vous souhaiter bonne soirée.
L’aimable débat n’est peut-être pas clos.
Merci.
Patrice :drunken: