Digital or not Digital


Je réitère ma question quoi lire a par le forum pour ce faire une idée du digital en 3 rails ?

@+Bonjour à tous,

Patrice, franchement, je ne comprends vraiment le sens de ta question, notamment dans cette partie de la phrase “quoi lire a par le forum…” ? :scratch:

Lire sur le forum, dans des ouvrages ?

Sur le forum, il y a déjà eu beaucoup de réponses sur la question du “numérique” (je préfère, quant à moi, cette appellation…“digital” étant un “anglicisme” ayant d’ailleurs un autre sens en français).

Certes, il y aurait sûrement un besoin de regroupement des thèmes similaires, d’indexation pour leur recherche… :study:
Mais bon…

Il y a aussi plusieurs écoles : tout numérique avec ou sans logiciel PC ou Mac, seulement la conduite des locos, tout analogique, un “mixte” des deux, etc.

Pour ma part, comme cela a déjà été dit, je reste assez réservé sur l’utilisation du canal “voie” (et le mélange des signaux numériques) pour tout ce qui n’est pas uniquement réservé à la conduite des locos, mais ce n’est qu’un point de vue parmi d’autres…
Les spécialistes auront probablement un avis différent…
On a vu, notamment, que le moteur des aiguillages n’aimait pas vraiment les ordres passant par un décodeur, sauf à en modifier leur conception…
Certes, c’est alors toute une approche logistique différente (des kilomètres de câbles à identifier, des relais…et du temps, beaucoup de temps et de patience…) :smiley:

Tous les autres débats n’en restent pas moins passionnants !

On attend la suite…

Bonne journée :zen:

Bonjour Daniel

Effectivement ma question n’est pas clair du tout, en fait je cherchais un document, livre ou site synthétisant le numérique, ses possibilités et aussi ce qu’il fallait prévoir d’acquérir comme matériels pour que cela fonctionne, j’ai trouvé des sites qui date un peu mais m’on permis de fixer les grands principes.

Sur le forum, on retrouve effectivement toutes et même parfois trop d’informations, il me manquait les principes de base et le rôle des différents éléments du système.

J’ai bien intégré qu’il était préférable de séparer la gestion des machines et la gestion des accessoires. L’argument relevé étant de préserver la puissance pour les engins motorisés, je n’avais pas pensé qu’il pouvait y avoir des interférences. Même si j’ai compris le bien fondé, ce n’arrive pas a le traduire en solution technique, faut 'il doubler tous les équipements? Je vais certainement tomber sur un schéma

Je progresse et ne manquerait pas de poser des questions en essayant d’être le plus précis possible

Merci et @+

Je crois qu’il faut répondre à tes questions en “oui et non” ferme et déterminé. :wink:

Bien sûr, il faut que le système digital (je garde ce mot parce qu’il est devenu habituel) ait une, et seulement une centrale, un seul cerveau pour tout diriger. Mais après, ça se divise.
Car l’alimentation du réseau à travers la seule centrale connaît une limite en puissance du courant, ce qui est important pour éviter que les fils chauffent.
Donc, pour un grand réseau, tu auras besoin de ce qu’on appelle “booster” (et je ne saurais même pas dire comment l’appeler en français), c’est en fait un appareil qui reçoit, tout comme la centrale, son énergie par un transformateur, mais qui contrairement à la centrale ne génère pas son propre signal digital mais transmet aux appareils qui lui sont connectés, le signal qu’il reçoit de la centrale. Bien entendu, il ne faut pas lier booster et centrale côté rail (ou appareils), mais uniquement par la connexion nécessaire pour que le booster reçoive les informations de la centrale.

Donc ça, c’est un peu comme autrefois, le circuit intérieur était alimenté par un transfo disons rouge (Primex) et le circuit extérieur par un transfo bleu. Maintenant, on alimente le circuit A par la centrale et le circuit B par le booster.
La différence étant que les locomotives peuvent passer du circuit A au circuit B sans que ça se remarque, elles reçoivent le même signal dans les deux circuits.

Prochain pas de réflexion : afin qu’il n’y ait pas d’interférence entre les appareils de voie qui commutent, et les trains, il est préférable de brancher les appareils de voie sur un circuit séparé des trains. C’est ce qu’on faisait déjà autrefois en utilisant un transfo 6002 (me semble-t-il) pour l’alimentation des appareils de voie, celui qui n’a pas de régulateur de tension et juste des broches L et 0.
On lit souvent qu’il est préférable de brancher ce circuit-ci sur la centrale, parce que habituellement il n’utilise pas trop de courant en même temps mais la centrale a besoin d’une part de sa capacité en Ampères pour son propre fonctionnement. Donc, les circuits B et C branchés sur des boosters seraient connectés aux voies, le circuit A à la centrale.

On est loin de l’idée de départ “juste deux fils entre centrale et rails, et les appareils de voie sont connectés directement sur le rail le plus proche”, mais c’est plus sûr en fonctionnement et évite des surcharges de la centrale.
Mais on ne double pas les équipements, sauf peut-être un booster de plus, puisqu’il n’y a pas besoin de plus de décodeurs. Juste d’un peu plus de cables…
(Certains décodeurs, si j’ai bien compris, permettent de transmettre aux moteurs d’aiguillages un courant externe qui peut être en courant alternatif, ce serait à préférer en faveur de la longévité des moteurs, qui n’aiment pas l’alimentation en courant continu ou presque, comme le courant digital.)

J’ai cherché pour ce qui existe de livres sur le digital, la grande librairie luxembourgeoise d’internet n’en a rien en langue française. Il faut voir ce que proposent les grands magazines de ferromodélisme qui éditent de temps en temps des hors-série sur le sujet. Ou bien lire en langue de Goethe, voire de Shakespeare… mais ce n’est pas donné à tous, moi et l’anglais par exemple nous faisons deux.

Pour ma part, comme cela a déjà été dit, je reste assez réservé sur l’utilisation du canal “voie” (et le mélange des signaux numériques) pour tout ce qui n’est pas uniquement réservé à la conduite des locos, mais ce n’est qu’un point de vue parmi d’autres…Bonjour Daniel,

Je me permets de mettre mon grain de sel dans la discussion…

Je considère que le problème n’est pas une question de mélange des signaux… ça c’est de l’électronique et on sait faire sans aucune difficulté …

Pour moi le problème vient essentiellement de cette vieille technologie de moteur d’aiguillage à bobine qui absorbe quelquefois plus d’un Ampère au moment de la commutation…

Il serait temps que Märklin songe à autre chose … aujourd’hui certains fabricants proposent des moteurs lents à courant continu qui ne consomment pas plus qu’une simple LED (en gros une quinzaine de mA ) … Ce type de moteur trouve tout son intérêt dans un système numérique.
Et commuter la position d’un aiguillage avec ce type de moteur n’a pas plus d’impact sur le trafic qu’allumer les feux ( à LEDs !!!) d’une locomotive :smiley:

Maintenant on peut aussi faire un bus numérique exclusivement dédié aux appareils de voie comme l’indique Wolfram, mais là aussi Märklin ne propose pas de solution simple et économique… Avec Märklin il faut rajouter un booster et tout le bastringue alors que techniquement on peut faire moins compliqué.

Comme je déteste les choses inutilement compliquées, c’est ce que je suis en train de mettre au point sur mon nouveau réseau en N … mais malheureusement je ne peux plus vous en parler ici puisque ce n’est pas du Märklin :blush:

Bonne journée :sunny1:

Le problème n’est pas le bus, mais l’alimentation des appareils - avec des décodeurs qui permettent de faire relais au lieu de donner le “jus” digital dans les appareils connectés, il n’y a pas besoin de cette séparation.
Il me semble que ça existe ; Märklin, il y a près de 30 ans (!), avait choisi la solution qui alors paraissait encore plus simple…

mais pourquoi pas nous parler de solutions typiquement DCC, puisque “notre” marque s’y est ouverte ? :wink:

Je considère que le problème n’est pas une question de mélange des signaux… ça c’est de l’électronique et on sait faire sans aucune difficulté …

Pour moi le problème vient…Bonjour Jean-Louis :wink:

Eh oui, mais dans ta citation, il manquerait la dernière partie de mon propos sur ce point ; alors je me cite tout simplement :

“Les spécialistes auront probablement un avis différent…”

Voilà, c’est fait ! :laughing:

Comme on peut s’instruire, chaque jour, sur ce forum…pourquoi pas ? :study:

À plus ! :zen:

Après avoir eu le sentiment de tourner en rond, maintenant je pense que chaque jour je progresse sur le digital, par petit pas mais en avant. Je progresse même sur l’utilisation du forum, je sais reprendre des citations. :smiley:

J’ai cherché pour ce qui existe de livres sur le digital, la grande librairie luxembourgeoise d’internet n’en a rien en langue française. Il faut voir ce que proposent les grands magazines de ferromodélisme qui éditent de temps en temps des hors-série sur le sujet. Ou bien lire en langue de Goethe, voire de Shakespeare… mais ce n’est pas donné à tous, moi et l’anglais par exemple nous faisons deux…

J’ai trouvé sur ce site : letrainpassion.com/Debut_digit_8.htm un certain nombre de littérature sur le sujet, je vais voir si je peux les trouver mais uniquement les document en Français car l’Allemand pas du tout et l’Anglais pas trop :blush: Beaucoup de publication sur le digital datent mais bon pour les bases ça devrait m’instruire

mais malheureusement je ne peux plus vous en parler ici puisque ce n’est pas du MärklinJe viens de relire la charte du forum et n’ai rien vu sur des sujets hors “Marklin” on peut peut être le voir ailleurs?

Le problème n’est pas le bus, mais l’alimentation des appareils - avec des décodeurs qui permettent de faire relais au lieu de donner le “jus” digital dans les appareils connectés, il n’y a pas besoin de cette séparation.
Il me semble que ça existe ; Märklin, il y a près de 30 ans (!), avait choisi la solution qui alors paraissait encore plus simple…

mais pourquoi pas nous parler de solutions typiquement DCC, puisque “notre” marque s’y est ouverte ? :wink:
Bonjour tout le monde, bonjour Wolfram,

En fait le problème est que dans le domaine du petit train on a tendance à être conservateur et on arrive à des solutions qui sont des panachages plus ou moins heureux de techniques surannées et de techniques modernes; c’est tout ce qui fait le charme de notre hobby.

Il ne viendrait à l’idée de personne de vouloir concevoir des téléphones portables utilisant des commutateurs à relais, mais dans notre hobby cela ne choque personne de voir ces vieux électro-aimants énergivores commandés par des microprocesseurs… :smiley:

Généralement on a le choix entre :

  • adapter la technique moderne pour qu’elle s’accommode plus ou moins bien des antiquités.
  • virer les antiquités pour les remplacer par des systèmes en adéquation avec la technique moderne.

Dans notre hobby, on a un peu tendance à choisir la première solution.

Je conçois très bien qu’on veuille conserver une vieille machine et avoir envie de l’utiliser en même temps que des machines plus modernes mais je conçois moins bien qu’on continue à fabriquer et à vendre du matériel que je qualifierais d’obsolète.

Et ceci n’est pas exclusivement une particularité à Märklin, on trouve les mêmes choses dans l’autre monde :smiley:

Pour ce qui est de DCC et MFX, pour moi il n’y a pas un bon et un moins bon, c’est juste bonnet blanc et blanc bonnet …

On peut comparer la technique digital à des signaux morse envoyés sur une ligne électrique … chacun peut définir sa manière de coder les signaux (d’ailleurs cela a été fortement exploité à une certaine époque!) … Donc dire qu’une brève dure 58 microseconde (DCC) ou 50 microsecondes (MFX) ce n’est qu’une question de convention … Dire qu’un message commence par 14 brèves (DCC) ou par 5 brèves (MFX) n’est encore qu’une question de convention…

Donc n’importe qui peut faire son propre code et sortir un nouveau système, laisse moi une petite heure et dans une heure tu auras le code ta_prohm :smiley: … après c’est juste une question de savoir si on préfère s’isoler ou collaborer. :wink:

Le Motorola de Märklin a été le précurseur des systèmes digitaux modernes, son tort est d’être apparu avant l’arrivée massive des microprocesseurs à 50 centimes, il n’a donc pas bénéficié des possibilités offertes par ces microprocesseurs …
Le DCC apparu plus tard a tiré profit de l’avènement de ces composants électroniques …

Le DCC ayant des normes bien précisées et des possibilités très étendues et encore inexploitées par 99,999% des constructeurs il n’y avait pas lieu, à mon avis, à revenir sur un autre format sauf si le but était de s’isoler des autres … :no:

On me dira que le MFX est bidirectionnel, je répondrais que le DCC aussi puisque les centrales DCC savent très bien lire les CVs des décodeurs … Mais apparemment aucun constructeur DCC n’a jugé nécessaire la reconnaissance 100% automatique … C’est, je pense, le résultat d’études de marché …

Le seul avantage (pas des moindres) que je trouve au monde DCC est d’être ouvert et chacun peut construire SA solution pour satisfaire ses besoins grâce à une très bonne compatibilité de matériel.

Donc quand je parlais de solution, c’était pour parler de MA solution que je compte adoptée en N et que je voudrais (note le conditionnel!) être simple, homogène, fiable et sobre en énergie…

Bonne journée :sunny1:

Maintenant on peut aussi faire un bus numérique exclusivement dédié aux appareils de voie comme l’indique Wolfram, mais là aussi Märklin ne propose pas de solution simple et économique… Avec Märklin il faut rajouter un booster et tout le bastringue alors que techniquement on peut faire moins compliqué.
…Marklin ne le propose pas mais si tu utilises des décodeur LDT, par exemple, tu n’as pas besoin d’un bus dédier pour les aiguilles (moi j’aime les vielles M). Sur le déodeur, le signal est séparé de l’alimentation. Tu prends le signal digital sur le bus que tu veux et le courant, pour les affreux (dans le sens de la conso) moteurs à bobines, est fournie par un transfo à part, sans booster (un vieux bleu fait l’affaire).

Marklin ne le propose pas mais si tu utilises des décodeur LDT, par exemple, tu n’as pas besoin d’un bus dédier pour les aiguilles (moi j’aime les vielles M). Sur le déodeur, le signal est séparé de l’alimentation. Tu prends le signal digital sur le bus que tu veux et le courant, pour les affreux (dans le sens de la conso) moteurs à bobines, est fournie par un transfo à part, sans booster (un vieux bleu fait l’affaire).
C’est ce que j’ai toujours fait avec mes décodeurs de fabrication personnelle …

Je vais même plus loin dans la simplicité, je prends le signal digital en amont du booster … le circuit du décodeur n’en n’est que plus simple et moins onéreux. :smiley:

Et je prends une tension continue ce qui évite de redresser et filtrer le courant dans chaque décodeur … je gagne 2 diodes et un condensateur par décodeur … il n’y a pas de petites économies :wink:

Et comme le docteur m’interdit de porter des charges lourdes, fini les vieux transfos bleus, dans ma solution actuelle j’utilise un chargeur de téléphone pour alimenter les moteurs d’aiguillage … :smiley:

Bonne journée :sunny1:

Bonsoir

De retour:D

Juste pour vérifier si j’ai bien compris

Mes machine en delta je pourrais les utiliser(avec les limitation du delta) sur un réseau digital dans la limite de 15 adresses voir plus car j’ai lu que l’on pouvait bricoler le décodeur pour lui faire accepter 15 de plus ou encore plus, pas encore tout compris.

Les marklin digital ou autres pourront aller jusqu’au adresse 90

Ensuite en fonction du système choisi on pourra avoir 9999 adresses

Donc en priorité mettre des décodeurs dans tout ce qui est analogique et ensuite envisager de remettre les autres avec des décodeurs plus performants!

Je viens de faire l’acquisition d’une 65500 Electroten , essai immédiat en analogique et je constate que le démarrages et l’arrêt sont progressif, est ce un effet du digital moderne car pas pareil sur le Marklin que j’ai? Plutôt sympa.

Encore une (double) question, qu’elle est la limitation du nombre d’adresse et comment les attribuer pour s’y retrouver.

Mes machine en delta je pourrais les utiliser(avec les limitation du delta) sur un réseau digital dans la limite de 15 adresses voir plus car j’ai lu que l’on pouvait bricoler le décodeur pour lui faire accepter 15 de plus ou encore plus, pas encore tout compris.En bidouillant un peu (un petit pontage à faire sur le décodeur) tu peux changer le set d’adresses d’un décodeur Delta … avec ce bidouillage tu peux accéder aux 80 adresses de l’ancien digital Märklin …

Les marklin digital ou autres pourront aller jusqu’au adresse 90Ce n’est pas 90, mais 80 !!

Mais certains décodeurs (ESU, Uhlenbrock par exemple ) permettent d’accéder à 127 et même 255 adresses à condition d’avoir une centrale qui sait faire (IB d’Uhlenbrock par exemple)

Ensuite en fonction du système choisi on pourra avoir 9999 adressesEn DCC tu peux aller jusqu’à 16384 adresses !!

Donc en priorité mettre des décodeurs dans tout ce qui est analogique et ensuite envisager de remettre les autres avec des décodeurs plus performants!A toi de voir …

Je viens de faire l’acquisition d’une 65500 Electroten , essai immédiat en analogique et je constate que le démarrages et l’arrêt sont progressif, est ce un effet du digital moderne car pas pareil sur le Marklin que j’ai? Plutôt sympa. Oui les décodeurs modernes gèrent l’accélération et le freinage en analogique aussi !!

Encore une (double) question, qu’elle est la limitation du nombre d’adresse et comment les attribuer pour s’y retrouver.Avec une centrale moderne tu donnes l’adresse la première fois et tu donnes aussi un nom à la loco (ex : CC 65500) par la suite tu n’as plus besoin de connaitre l’adresse …
Avec le MFX de Märklin c’est encore plus simple, tu ne donnes plus d’adresse, c’est la loco qui s’annonce à la centrale sous son nom (enregistrée dans le décodeur ex: BB26000 Fret ) et tu n’as plus qu’à jouer avec !!

Bonne soirée :sleep:

Merci ta_prohm pour ta réponse éclair qui confirme et précise mon analyse.

Donc on adresse les loco avec un petit nom, numéro de serie par exemple et plus besoin de mémoriser les code au travers d’une table de correspondance.

Qu’elles sont les plus et les moins de l’adressage des différentes centrales? désolé mais c’est bien la dernière …de la soirée

Qu’elles sont les plus et les moins de l’adressage des différentes centrales? désolé mais c’est bien la dernière …de la soiréeDésolé mais là je laisse les spécialistes répondre …

J’ai transformé moi même un PC portable en centrale et je ne connais rien (ou presque rien) des centrales commerciales … J’ai juste une MS1 que j’ai utilisée comme cobaye pour valider mon électronique et mon logiciel …

Bonne nuit :sleep:

Bonsoir

Fin d’un week end de lecture!

Actuellement si je met une machine Delta ou Digital sur un réseau analogique, elle fonctionne en analogique.

Si je met une machine analogique sur un réseau digital, que ce passe t’il?

Maintenant je configure une machine Delta ou Digital avec une adresse, elle fonctionne en Digital mais se retrouve sur une partie de réseau en analogique?

Je vais lire le dernier (2012) numéro Loco Revue sur le Digital.

Actuellement si je met une machine Delta ou Digital sur un réseau analogique, elle fonctionne en analogique.A condition de configurer les switchs pour ça !!

Si je met une machine analogique sur un réseau digital, que ce passe t’il?Elle part à vitesse maximale …

Maintenant je configure une machine Delta ou Digital avec une adresse, elle fonctionne en Digital mais se retrouve sur une partie de réseau en analogique?Elle ne fonctionne pas en analogique si elle est configurée en digital, mais au passage entre les deux parties de réseau elle risque d’en profiter pour détruire ta centrale. :lol!:

Le mieux est de faire un choix : digital ou non et de s’y tenir …

Plus tu resteras simple dans tes choix, moi tu risques d’être déçu…

Je vais lire le dernier (2012) numéro Loco Revue sur le Digital.Le problème est que dans le digital il y a de tout, du bon et du moins bon, du simple et du compliqué, du fiable et du moins fiable, du compatible et du pas compatible, de l’archaïque et du moins archaïque, du dispendieux et du moins dispendieux, …

Mais je crois que cela vient du fait que les amateurs ont toujours des besoins inassouvis et les fabricants font tout pour leur donner satisfaction …

Là aussi commence par savoir quels sont tes besoins, analyse bien ceux qui sont vraiment utiles et élimine ceux qui te paraissent moins utiles …
Plus tu resteras simple dans tes choix, plus tu as de chance de ne pas être déçu …

Bonne soirée :sleep:

Actuellement si je met une machine Delta ou Digital sur un réseau analogique, elle fonctionne en analogique.A condition de configurer les switchs pour ça !!Vrai et faux : vrai pour l’écrasante majorité des Delta (les toutes premières séries qu’il fallait programmer par points de soudure, avaient la détection automatique analogique/digital), faux pour l’écrasante majorité des décodeurs digitals, qui depuis le temps des 6080 (c’est la grand-mère des décodeurs, des années 1984) détectent automatiquement.

Si je met une machine analogique sur un réseau digital, que ce passe t’il?Elle part à vitesse maximale …

Maintenant je configure une machine Delta ou Digital avec une adresse, elle fonctionne en Digital mais se retrouve sur une partie de réseau en analogique?Elle ne fonctionne pas en analogique si elle est configurée en digital, mais au passage entre les deux parties de réseau elle risque d’en profiter pour détruire ta centrale. :lol!: Vrai et faux, comme dit plus haut. Il n’y a, en principe, que les delta et très très mais TRÈS peu d’autres décodeurs qui font des problèmes (à moins qu’un décodeur récent soit programmé à ne plus faire la différence).
Ce qui est vrai, en passant, c’est que les centrales, plus elles sont récentes, moins elles aiment avoir une tension externe (qui n’est pas la leur) sur les bornes côté rail. Donc, dans certaines publications on lit que même entre les zones des différents boosters et centrale, il convient de mettre les petits balanciers qui évitent que le frotteur fasse contact. Ce qui veut dire qu’il faut
1° limiter les points où les machines passent d’une zone à l’autre, et
2° éviter de les mettre sur des zones où l’on roule très lentement.

Le mieux est de faire un choix : digital ou non et de s’y tenir …

Plus tu resteras simple dans tes choix, moi tu risques d’être déçu…

Ça - ou prévoir de pouvoir commuter tout le réseau entre digital et analogique, pour ceux qui disposent de beaucoup de vieux modèles c’est une option aussi. Mais qui veut être réfléchie et bien conçue, dès que le réseau dépasse les 6 à 8 mètres de voie. :stuck_out_tongue:

Mais bien sûr, il est mieux aussi de bien faire son choix de décodeurs (mis à part ceux montés d’usine qu’on ne choisit pas) et de s’y tenir, au moins pour ce qui est du fournisseur parce que la technique n’arrête pas d’avancer : avec deux ESU, deux Uhlenbrock, deux Tams et deux Märklin on risque de perdre son latin.

Vrai et faux, comme dit plus haut. Il n’y a, en principe, que les delta et très très mais TRÈS peu d’autres décodeurs qui font des problèmes (à moins qu’un décodeur récent soit programmé à ne plus faire la différence).Mais la question d’Olivier était :

Si je mets une machine analogique sur un réseau digital, que ce passe t’il?

Pour moi une machine analogique n’a pas de décodeur !!
Et si on la met sur un réseau digital elle part à vitesse maximale …

Sinon le peu de Delta et de digital que je possède ne reconnaissent pas automatiquement le mode de fonctionnement, il faut mettre les switchs dans une certaine position pour qu’elles puissent fonctionner en analogique.

Mais j’ai peu d’expérience de ça, je n’aime pas les solutions compliquées :wink:

Bonne journée :sunny1:

Bonjour

Le mieux est de faire un choix : digital ou non et de s’y tenir …

L’idée au final n’est pas de faire un panachage des 2 types d’alimentation mais dans mon esprit ce pouvait être une hypothèse transitoire sur la digitalisation du réseau. A terme le réseau principal en voie K serait complétement digitalisé, mais j’ai aussi quelques voies C pour un réseau de table pour faire jouer les enfants. Même si a priori ce ne sont pas les mêmes matériels qui vont y rouler, je ne pourrais pas utiliser les machines en digital ou Delta sur ce réseau pour des tests.

Vrai et faux : vrai pour l’écrasante majorité des Delta (les toutes premières séries qu’il fallait programmer par points de soudure, avaient la détection automatique analogique/digital), faux pour l’écrasante majorité des décodeurs digitals, qui depuis le temps des 6080 (c’est la grand-mère des décodeurs, des années 1984) détectent automatiquement.Je reformule pour vérifier si j’ai bien compris, les machines avec des anciens décodeurs “programmables” par soudure ou dip, ne peuvent pas utilisé alternativement en digital ou analogique sans reprogrammation. Par contre pour les décodeurs plus récents (même les grand-mères) qui détectent le type d’alimentation, pas de soucis pour passer d’analogique a digital.

Pour moi une machine analogique n’a pas de décodeur !!
Et si on la met sur un réseau digital elle part à vitesse maximale …
Ce qui me semble effectivement cohérent dans la mesure ou si j’ai bien compris le réseau digital est toujours alimenté au maxi

Mais bien sûr, il est mieux aussi de bien faire son choix de décodeurs (mis à part ceux montés d’usine qu’on ne choisit pas) et de s’y tenir, au moins pour ce qui est du fournisseur parce que la technique n’arrête pas d’avancer : avec deux ESU, deux Uhlenbrock, deux Tams et deux Märklin on risque de perdre son latin.Qui perd son latin dans l’histoire, la centrale de commande ou la personne qui aura besoin de programmer les décodeurs?

Qui perd son latin dans l’histoire, la centrale de commande ou la personne qui aura besoin de programmer les décodeurs?Pas de risque qu’une centrale ne perde la tête … elle fait juste ce qu’on lui demande de faire …

Par contre les neurones de l’humain qui se trouve derrière la centrale peuvent s’embrouiller un peu à la longue, et avoir à rechercher et sortir la notice (qui n’est pas toujours en Français!) d’un décodeur ou d’une loco risque de devenir rapidement une corvée fastidieuse.

Et c’est un des gros reproches que je fais à Märklin (je sais qu’on va me dire que je critique trop! mais qui aime bien châtie bien :wink: ) … dans les dix dernières années cela a été la valse des décodeurs et des moteurs… Quand ça marche tout va bien; mais au moindre petit problème, l’amateur pas très féru en technique risque fort de se retrouver perdu, beaucoup de questions sur notre forum préféré sont là pour le prouver.

Bonne journée :trainregard: