Bonjour Eric (et chers Tous), voici mes dernières cogitations au sujet de l’entrée de votre gare cachée vu que je n’ai pas la chance de posséder comme vous les relais K0 à K5.
Je me suis toujours demandé si je réussirais l’automatisation de ma gare cachée en analogique et comme j’accorde beaucoup d’importance aux différentes vitesses des rames, à ce moment le digital s’imposait ; de plus pour une question d’accès : la complexité de ma gare cachée à du être augmentée vu que tout a été poussé sur les bords et sa gestion en analogique devenue bien difficile.
Je n’ai pas encore de Kxx et Sxx ou équivalents et résonne avec les fonctions logiques (OU, ET, NI, . . .) avec des relais classiques (et donc pas bistables) et je n’ai pas développé le positionnement des aiguillages à l’aide d’une matrice à diodes.
Soit le dessin
1)avec les zones d’arrêt ajoutée.
2)le contact K1 qui commande le relais TK1 pour avoir les contacts ouverts et fermés c’est à dire TK1 et TK1barre . . .
3)la commande du relais RT1 pour le trajet 1 en cours . . .
la voie 1 libre se remplira avant la voie 2 etc. . . . jusque la 5
. . . comme exemple supposons l’inverseur marche/arrêt en marche et que les voies 1 à 3 sont occupées,
à ce moment K1 à K3 sont fermés et les relais TK1 à TK3 sont enclenchés
alors RT4 est alimenté, il se mémorise et un autre de ses contact s’ouvre pour empêcher tout autre mouvement sur RT1 à RT5
MAIS le départ de la gare cachée d’un train est possible en même temps
une fois le train arrivé en K4, TK4 est enclenché ce qui relâche RT4
4)en reprenant le schémas donné précédemment, TK1 et K1 (entre les deux dessins) font double emploi pour le relais M67
5)et finalement la commande du relais M67
NB : en passant le Marche/Arrêt sur arrêt : le parcourt d’un train qui entre ou qui sort n’est pas interrompu.
Est-ce que c’est bon ? Cela aiderait quelqu’un ?
Merci, Patrice
PS. : Pour réaliser son application en utilisant des circuits intégrés 74xx ou des relais : l’algèbre de Boole sert à simplifier les circuits. Le circuit dessiné avec des ET, OR, NI, est transformé avec tout des NI ce qui donne encore une simplification, voilà pour l’historique et puis faut souder les petites connexions et alimenter avec du +5V sur la plaque veroboard. Les relais ou fonctions intermédiaires sont noyés dans la logique alors interne qui correspond à la carte créée. L’avantage est le cout et l’absence de relais avec beaucoup de contacts pour respecter la logique ainsi contenue dans la plaque. Les contacts dit de commande sont mis en entrées et les sorties sont directement utilisées ou bien on passe par un relais de sortie pour des raisons d’intensité ou autres. En somme la plaque comprend TOUTES les entrées et TOUTES les sorties en donnant une logique câblée ; si on doit ajouter une fonctionnalité et bhen faut remonter ses manches en commençant par le plan et rebelote, hein ! Mais bon une fois stabilisé le schéma de son train.