La caténaire Sommerfeldt est en autre conçue pour les réseaux hélvétiques car cette dernière est fidèle à la grande réalité mais dispendieuse.
Viessmann/Märklin a été conçue de préférence comme jouet voire comme succédané ou kitsch à des modélistes envieux et à faibles revenus.
Ainsi chacun y trouve son compte 
Bonjour,
Ah… La caténaire… et le débat qui va autour ! 
Que ce soit Märklin, Viessman, Sommerfeldt ou autre… ce qui importe est que cela nous plaise, hein? 
Certains privilégieront le réalisme, le coté fonctionnel ou encore l’esthétique voire l’époque (pas besoin de caténaire si l’on n’à que des vapeurs ou/et des diesels !) 
Maintenant, question “investissement” c’est évidement la pierre angulaire… c’est un bel objet… coûteux malgré tout, et qui va en décourager plus d’un ! Surtout, si l’on veut suivre les recommandations des fabricants (ou une certaine réalité !). 
Personnellement, j’ai longtemps hésité à en poser une… pour au final choisir Märklin (je ne savais pas que celle de Viessman était quasiment la même) comme fournisseur, et je ne le regrette pas ! Comme aucun réalisme ne se posait comme élément de choix, sont restés la robustesse, la “facilité” de pose et le plaisir visuel de l’habillage qu’elle apporte ! 
Quand au choix de laisser frotter les archets sur la caténaire ou pas… c’est l’expérience qui m’a permis d’en juger ! Au début, j’étais partisan de l’archet en contact avec le fil… oui, mais force m’a été de constater l’usure des palettes, et dans le cas des archets étroits (autres marques), l’arrachement des pantos et de la caténaire en certaines circonstances…
j’ai donc recherché un moyen “invisible” de limiter la hauteur de déploiement des pantos, pour l’instant, c’est un minuscule fil en nylon qui assure ce rôle… et de fait, l’effet visuel me satisfait pleinement ! 
Didier.
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Hello
Didier " c’est un minuscule fil en nylon qui assure ce rôle." Peux tu nous en dire plus sur ta méthode? … d’autres idées/solutions?
Je crois qu’il arrive assez de catastrophes ferroviaires sans rajouter le risque lié aux pantographes qui frotte sur le fil. En plus le remplacement des pantos peut être compliqué au niveau réassort et représente un coût, qui peut chiffrer assez vite.
Bonsoir Patrice, bonsoir tout le monde…
Oui, j’ai “trouvé” un fil nylon (transparent) de 0.1mm… fil de pèche qui résiste jusqu’à 1,2 kg de traction !
Je le noue d’un coté à un point fixe situé à la base du panto, et l’autre coté , soit à un des montants de l’archet (monobras), soit à un des axes support (pantos en ciseaux)…
Dis comme ça, ce n’est peut-être pas très clair… dès que je pourrai, quelques photos seront postées ! 
Attention tout de même, la perfection n’étant pas de ce monde, il m’est arrivé qu’une ligature imparfaite m’a joué de bien vilains tours…
Didier.
Bonjour Patrice, bonjour Didier, bonjour à tous,
J’ai utilisé la même technique que Didier, mais avec un brin de fil de cuivre “crocheté” de 0,2mm de diamètre. Il est en place depuis des années 
Une petite photo pour illustrer, avec la poussière !!
A bientôt
Amitiés de la Presqu’île de Rhuys
Bonjour à tous,
Etrange… j’aurais juré avoir posté une mini suite ! 
Bref, quoiqu’il en soit, voici ce que donne sur un pantographe monobras le fil précité… vu en macro, donc même à 1 mètre, “invisible” !
Et ne pas oublier de fixer les nœuds avec une petite goute de colle à bois (elle devient transparente en séchant…)
Didier.
Super tout cela,
c’est vrai que c’est pas terrible les locos électriques qui roulent pantos repliés…
Bah… On pourrais dire de même pour les vapeurs sans fumée, les diesels sans les échappements, plus généralement les locos sans le bruitage ! (quoique dans ce dernier cas, je n’utilise les sons qu’en de rares occasions… quel raffut si on en utilise quelques-unes ! )
Didier.
Moi-même, je roule pantos repliés et je confirme ,c’est pas terrible mais ce sont les tunnels qui posent problème
et on pourrait même le dire avec un t ! 
Bonjour,
Quoique les tunnels sont peut être les parties les plus aisées à équiper, car cachées, avec une “caténaire” rustique constituée d’un fil de cuivre rigide et simplement destinée au maintien en position relevée basse (conforme à la norme NEM) des pantographes. Il suffit juste de prévoir une “pente” d’entrée et de sortie qui peut être aussi très discrète.
Si les entrées de tunnel ne sont pas au gabarit “électrification”, la difficulté est alors toute autre. Mais cela relève alors de la responsabilité du gestionnaire d’infrastructure… 