Perso, je pense qu’une CS1 même modifiée et qui récupère des mises à jour, pour moi cela reste une CS1. Quant à l’ECOS 50000 que j’ai eu à une époque lointaine, modèle monochrome qui nécessitait deux alims en fonction de l’échelle qui était utilisée avec avant qu’ESU daigne fournir un bloc unique avec un potard intégré.
Dans les deux cas, électronique trop ancienne pour supporter du matériel roulant digitale dernier cris avec autant de fonctions embarquées.
J’en viens même à penser que c’est peut-être ça qui a cramé le décodeur de la bourreuse, juste une hypothèse.
Cela me fait penser à l’affaire des transfos bleu d’une autre époque.
Laurent
C’est tout à fait ton droit, mais vu les fonctionnements, il y a des mondes entre les deux.
D’ailleurs, même l’ECoS actuelle repose encore largement sur cette première construction, certes agrémentée d’un écran plus grand.
La CS1R comme toutes les ECoS est tout à fait capable de gérer les 31 (?) fonctions en M4 (mfx) et les innombrables fonctions en DCC. Ce n’est pas une question du matériel mais du logiciel.
Never say “never” - mais c’est hautement improbable.
Ça aussi c’était (et est encore) une bulle de savon énorme. Les décodeurs en question (qui ne supportent pas plus que 35V cc) claquent aussi, sous certaines conditions, avec un transfo blanc - j’en ai fait l’expérience. Par contre, un décodeur supportant 40V cc soit env. 27,8V ca ne claquera pas avec un certain nombre de transfos bleus (ou oranges, primex). Les Super 280 sont réputés fournir bien plus que 25V pour l’inversion, certains modèles notamment de petite puissance le font également mais c’est pour leur caractéristique : sous charge nominale, soit 10VA, 16VA, 30VA selon modèle, ils doivent rendre les 24V mais à très peu de charge, la tension monte (et en surcharge, elle baisse fortement). C’est voulu, c’est un gage de sécurité. Il faut donc les charger, or les locomotives digitales consomment beaucoup moins que les vieux modèles, et notamment à l’inversion il n’y a plus de relais mais juste un petit décodeur, d’où les tensions très hautes à l’inversion.
Mais rappelons, en revenant à notre sujet, que la CS1 et CS1R ont été construites pour le mfx, que le mfx a évolué dans son vocabulaire mais pas dans sa description technique (tension, puissance, etc.), et qu’il n’y a donc aucune raison qu’une CS1R puisse endommager un décodeur.
À moins que la sortie rail soit défectueuse et fournisse une tension bien plus importante, mais là, tous les décodeurs y passeraient !
Aucune idée… Je demanderai au copain.
Après, la bourreuse doit quand même être calibrée sur le système d’exploitation ; iTrains dans son cas, sauf erreur.
Mais bon, si il l’a renvoyée, c’est que quelque chose n’allait pas.
Amicalement, bonne soirée.
Stef
Bourrage en cours sur le Paris Cheilly Marseille …
Très satisfait, ca change des locos classiques, on peut même l’atteler facilement.
Beau boulot de Viessmann 
La vidéo gagnerait à être pivoter de 90° à gauche. Tel quel, la bourreuse va finir par tomber 
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