Une Pacific

Bonsoir à tous

Pour Janvier je me paye une fois une Pacific hé héée bin oui je ne l’ai pas d’où question à christophe et à tous les autres

Si je consulte mon Koll’s (2000) :vieux: j’ai le choix de la F800 à la 33951 et je suis sûr qu’il y a des nouveautés depuis.

à savoir j’ai encore de stock 2 kits complets 60760 forcément depuis que vous m’avez fait rencontrer ESU !!! mais laquelle prendre et en plus j’aime d’amour fou la
version Française que Märklin a oublié de faire…

Vos avis… tenue en voie, solidité mécanique, en trois rails bien sûr.

au fait et la 3046 en vrai c’est une quoi.
et la 3317 vrai pacific ou comme la 3311 une fausse Belge:no:
à vous de me dire :grr:

Claude:vieux:

Comprends pas la question.

Une “Pacific”, c’est une locomotive à tender séparé comportant dans l’ordre, de l’avant vers l’arrière, un bogie porteur, trois essieux accouplés, un bissel porteur.

En notation française, c’est une 231, en notation allemande, c’est une 2’C1’, en notation anglaise, c’est une 4-6-2.

Toute locomotive présentant cette distribution d’essieux, quelle que soit son époque et son pays de construction, est une Pacific.

La 3046, c’est une “Décapod” ou 150 ou 1’E ou 2-10-0

La 3317 et la 3311 sont toutes deux des Pacific.

Bonsoir Claude,
Voici quelques références de Pacific Märklin.
D’abord 2 versions françaises de l’ex-bavaroise S3/6:

  • réf. 3083, Pacific 231-981 ETAT, verte, analogique, parfaitement transformable avec le set 60760
  • réf. 3317, Pacific 231A995 SNCF ex-ETAT, verte, décodeur DELTA (fonctionne donc en digital)

Ensuite, quelques Pacific allemandes.
D’abord les nostalgiques:

  • réf. F800 et ses successeurs 3008, 3026 et 3048, BR 01 097 DB. Ne sont “digitalisables” qu’avec un LokPilot ESU et un aimant permanent ESU 51960 pour gros moteurs Märklin. Le set Märklin 60760 ne supporte pas les moteurs à 3 pôles.

  • réf. 30080, réplique de la même machine, sortie par Märklin en 2012, déja en digital.

NB: le set complet moteur HP pour cette machine, pièce détachée réf. E188838 n’est plus livrable. Dommage, car il permettait de digitaliser la F800 et ses successeurs.

Ensuite des modèles moins anciens:

  • réf. 3085, BR 03 DB, analogique, parfaitement transformable avec le set 60760

  • réf. 3395, BR 03 DB, décodeur DELTA (fonctionne donc en digital)

  • réf. 3092, S3/6 bavaroise, verte, analogique, aisément “digitalisable”

  • réf. 3093, S3/6 bavaroise, version DB BR 18 478, noire, aisément “digitalisable”
    Attention toutefois: les premières versions avaient encore le gros moteur.

Voilà pour l’instant
Bonne soirée
Christophe

J’imagine que “3311” est une erreur de frappe et que tu voulais écrire “3111”, car la 3311 n’est nullement une “fausse belge” - ni une vraie d’ailleurs.

Par contre, il est vrai que par réparation du traité de Versailles, les chemins de fer belges ont eu trois locomotives de la série bavaroise S3/6. Tout comme les Chemins de Fer de l’État français en ont eu.
La 3111 répond, jusque-là, à une réalité historique.
Sauf qu’il paraît que les Belges se sont contentés d’enlever aux chemins de fer allemands le moyen de traction (dont, par ailleurs, ils auraient profité parce que les bénéfices du rail servaient à payer d’autres réparations, en or comptant…), mais n’avaient aucune envie de faire rouler ces belles machines, et les auraient ferraillées sans jamais les avoir chauffées, en 1924. Ils auraient mieux fait de les laisser s’ils ne savaient pas les manipuler…

Bonsoir
À Wolfram, je répond très juste pour tout, Merci.

A Christophe (au cas ou) je sait encore avoir des kit E188838 en (D) à 45.50€.- plus port ! a mon avis très cher.
Je vais donc cherché une 3085/4 -10 ? , et ensuite une 3092/3,

Pour la 3046 ma question était de savoir si elle à rouler en France car elle me plais bien, je voulais également savoir si le fait d’être plus grosse que les (150 !) 3316-3314 et autres que j’ais déjà, est le fait de Märklin ou reflète la réalité.

J’ai lu quelque par, que bien des pacifiques on péris en mer sont elle des machine US ?

@ Vous de dire.

Bonjour Claude
La 3046 est une 150 marchandises (type decapod) qui a circulé en France jusque vers 1955 sous le nom de série 150X. Le modèle Märklin porte le numéro 150X29. La série comptait plus de 200 exemplaires dérivés de la BR 44 allemande, en partie construites par la Société Alsacienne de Construction de Machines (SACM) à Graffenstaden, en partie construites en Allemagne chez Henschel à Kassel et restées en France à titre de réparations de guerre. Elles tiraient les trains de minerais de la Lorraine, leurs dépôts d’attache étaient Valenciennes et Audun-le-Roman. A partir de 1955, ces machines furent vendues aux Chemins de fer Turcs (TCDD), suite à l’électrification du nord-est de la France (ligne Valenciennes-Thionville) et l’apparition des “fers à repasser”, les électriques CC-14000 et CC-14100, BB-12000 et BB-13000.
La machine 3046 est facilement digitalisable avec un set moteur Märklin 60944 et un décodeur 60942.
Peut aussi se faire avec un Lokpilot ESU et un aimant permanent ESU pour gros moteurs 51960.

Photo: wedero.de/maerklin/lokomotiv … /03046.htm

Les machines disparues dans l’Atlantique en 1947 sont 17 engins du type 141R, suite au naufrage du cargo norvégien Belgravia. Ces 141 “Libération”, type Mikado donc, avaient été commandées par la SNCF à 1340 exemplaires en 1945 aux USA et au Canada pour remplacer les machines détruites ou confisquées pendant la guerre. Les constructeurs américains ALCo, Baldwin, Lima se sont basés sur les plans et le gabarit de la mikado standard USRA 2-8-2 light mikado.
La loco a été reproduite par Jouef et Rivarossi.

Photo: jouets-passion.com/fr/jouef-8274-69-.html

Cordialement
Christophe

Les machines disparues dans l’Atlantique en 1946 sont 17 engins du type 141R, suite au naufrage du cargo norvégien Belgravia…Bonjour Christophe,
Le cargo, j’ai lu que ce serait “Belpamela” ? À vérifier tout de même… :scratch:

La loco a été reproduite par Jouef et Rivarossi.

…Sans oublier, auparavant, TAB, et aussi, depuis, Lemaco (sauf erreur de ma part…bien sûr ! ) :joker:

Bonne journée ! :flower:

Bonjour Daniel,
C’est possible, le nom du cargo “Belgravia” ou “Belpamela”, il peut y avoir un doute, en tout cas, c’était un navire norvégien.
En ce qui concerne les modèles 141R, Tenshodo l’avait sortie aussi, avec le logo “MISTRAL” sur la porte de la boîte à fumée, ainsi que Fulgurex, la 141R1187 qui est maintenant au Musée de Mulhouse.
Personnellement, j’ai truqué en 3-rails digital le “vieux” modèle Jouef 141R416 vert, et ça marche très bien.
Cordialement
Christophe

Bonjour Claude,
La 3046 est plus massive que les 2 locos 150 belges que tu mentionnes.
C’est normal: les machines belges sont dérivées, comme la 150Z SNCF, de la série BR50 allemande. Cette série est la version allégée de la BR44.
La BR44 - dont dérive la 150X française - a effectivement une chaudière plus volumineuse que la BR50.
Ce n’est donc pas une invention de Märklin, mais la réalité. Et autre aspect technique de la version lourde: la BR44 a un moteur à 3 cylindres tandis que la BR50 n’a que 2 cylindres.
Cordialement
Christophe

:smiley: Bonjour

Le cargo Belpamela…

wrecksite.eu/wreck.aspx?164171

La reférence : 3111

i55.servimg.com/u/f55/11/32/05/72/kgrhqr10.jpg

Pacific bavaroise , ex prise de guerre ou en dédomagement de fait de guerre…

La référence : 3311

i55.servimg.com/u/f55/11/32/05/72/er-o6t10.jpg

Pacific wurtemburgeoise…

ex : prise de guerre ou en dédomagement de fait de guerre.

C locomotives ont été construites au début du XXe siècle pour le Royal chemins de fer Württemberg ( KWSt.E ) destiné à conduire des trains rapides et express. Constructeur: M. Kittel. Dans les années 1909-1921 a produit seulement 41 exemplaires dans l’usine Maschinenfabrik Esslingen . En raison de l’aspect inhabituel dans le temps gagné le surnom de Die Schöne Württembergerin ce qui est beau Wirtemberka.
Après la fin de la Première Guerre mondiale dans le cadre des réparations de guerre trois articles (numéro C 2001, C 2026 C 2027) a frappé la tour française ETAT , et un (n copies C 2010, n ° 3571 Factory, l’année de fabrication 03/1911) sont venus l’état ferroviaire , en 1919, où il a reçu Om101 désignation de série et le numéro 1 Type d’appel d’offres 2’2T20 (2001-2024 le nombre de moins tendre 2’2T20 numéros 2025-2041 plus tendre 2’2T30) a été nommé 20D101. Les 37 unités restantes acquis Deutsche Reichsbahn comme une série de numéroté 18101 18,1 à 18,137. Derniers copies actives en Allemagne et 18133 18136 ont été utilisés en 1955 à Ulm.
Une copie de Om101-1 a été affecté à la Kaliska rotonde (Direction de Varsovie) et a couru les trains de voyageurs et de trains rapides. Probablement après 17 Septembre 1939, il est capturé par les forces soviétiques et intégrés dans le Commissariat du peuple flotte des Transports (NKPS) URSS . Après Juin 1941, il était en Roumanie, où il a pris les chemins de fer de l’Etat CFR que 231 901. Là, il a finalement été abandonné.

source wikipedia

Photo du bas : Une pacific wurtemburgeoise (2C1 h4v) réimatriculée 3-231 A 997 à la SNCF, mais qui semble en bien triste état ,en france…

i55.servimg.com/u/f55/11/32/05/72/img06710.jpg

Les locomotives « Armistice »

I. Introduction.

L’armistice a été signé le 11 novembre 1918 alors que les armées allemandes occupaient encore des territoires dans des pays étrangers notamment en Belgique et en France. Le retour des armées allemandes s’est effectué dans la douleur, rapidement – dans le cadre d’une guerre civile larvée - et dans le désordre. Ils laissèrent derrière eux bien du matériel. (Notamment des wagons de munition. Ceux-ci agirent comme des bombes à retardement dont les détonateurs étaient l’appétit de la population pour le cuivre).

L’article 7 de la convention d’armistice de ce 11 novembre 1918 précise " il sera livré aux puissances associées: 5.000 machines montées et 150.000 wagons en bon état de roulement et pourvus de tous rechanges et agrès nécessaires, dans les délais dont le détail est fixé à l’annexe n° 2 et dont le total ne devra pas dépasser trente et un jours."

Ce sont ces locomotives qui seront communément désignées sous le vocable de « locomotives armistices ».

Les locomotives connues sous ce nom ne concernent donc pas les locomotives récupérées après la seconde guerre mondiale. L’armistice n’en a d’ailleurs toujours pas été signé.

C’est la Commission Interallié pour la Récupération de Matériel (CIIRM), basée à Wiesbaden, en Allemagne, avec des sièges à Aachen, Bruxelles et Sarrebruck, qui sera chargée de répartir le matériel. Les premières machines reçues par l’Etat Belge furent prises en écriture des février 1919. Près de 4 plus tard, le 15 septembre 1922, le sous-commissariat d’Aachen fixa la part de la Belgique à 2.082 unités. Il y a un écart de 145 machines (2.227 en fait) entre le nombre officialisé et l’inventaire réel ; mieux, il y a contradiction entre les données belges et allemandes. L’hypothèse est que ce lot de 145 machines représente le matériel abandonné sur les voies par les allemands.

Les auteurs français prétendent, sans être contredits, que le choix du matériel fut fait par des militaires, sans aucune autre considération que le pragmatisme à courte vue : soit du matériel employable tout de suite en cas de contre-attaque des allemands et privant ainsi l’ennemi de logistique. Ceci expliquerait la diversité du matériel récupéré comme l’ahurissant choix à l’unité. Nos voisins retiennent comme exemple le choix de 3 Pacific Wurtembergeoise de classe C (future BR 181 de la DRG), connue sous les surnoms de petite pacific, d’élégante pacific ou encore de pacific légère, dont aucune usine française n’était à même de réaléser les bandages de roues. Avons-nous hérité du solde ou d’autres militaires, belges, ont-ils collaborés à ce choix douteux ?

Ce lot de plus de 2.000 machines était vaste et disparate ; cet apport constituera près de 50% du parc belge, ainsi fortement germanisé : la plus grande série de locomotives homogènes en service à la SNCB - créée en 1926 - sera une série « armistice », le Type 81 – 583 locomotives - l’une des machines les plus appréciées des amateurs, la plus grande série pour les trains de voyageurs, le Type 64, - 165 locomotives - aura la même origine.

Enfin, les historiens ont marqué moins d’attention aux tenders. En règle générale, les machines étaient dotées de tender à 3 essieux. Mais…

Il me semble que le contexte doit être mieux connu pour bien s’y retrouver dans cet apport.

source:
traintamarre.tassignon.be/textes … istice.htm

Bonjour à tous

Héée bé, c’est pas beau ça, que de bonnes références, c’est aussi ça faire plaisir
et prendre la peine de comprendre les autres.

Je vous avoue qu’en Märklin je m’y retrouve plus ou moins, mais pour les vrais j’ai bien des choses
à apprendre.

Claude.

:smiley: Bonjour…

oui, sa sert aussi à sa ,un forum…
ce qui est vraiment passionnant c’ est de faire des recherches sur le web…

d’ autre part ,je ne savais pas que les Belges avaient aussi reçu le même type de locomotives que les français…

en ce qui concerne la couleur des machines, tout est donc plausible, de toute façon ,tu as deux solutions:

ou tu te contente de prendre la machine qui est reproduite peut être dans les couleurs approximatives, et que tu auras cette machine sur ton réseau…Que tu auras tout le loisir de modifier …

ou bien , cette machine, tu ne l’ achète pas ,car elle n’ a pas les couleurs qui correspondent à ton époque , voir qu’ elle ne répond pas à ton époque, alors la ,tu aura juste tes yeux pour pleurer en la voyant roulée sur le réseau du copain…

de nos jours , il est pas rare de voir des machines vapeurs à coté des TGV dans les gares et de voir des voitures voyageurs Nord qui roulent dans le Sud…

Vois-tu , avec le train tout est possible…

voir ici :source :

Pour des raisons qui n’appartienne qu’à la gestion mystérieuse de la compagnie Etat Belge, certains séries seront répertoriées et d’autres noms… Lorsqu’elles sont répertoriées, le numéro de la machine tend à s’inspirer de celui d’origine. La numérotation n’est donc ni logique ni structurée.

Ensuite, il convient sans doute de bien noter (et retenir pour les modélistes) que les modifications de coloris ou la mise au type Etat Belge ne commenceront qu’à partir de 1922. Elles pourront s’étendre sur de longues années au fil des révisions.

Elles seront repeintes dans les couleurs de l’époque, brun ou un vert un peu plus claire que celui de la période de la ESB / BSM.

Cependant pendant la guerre, des machines devront être réparées et donc parfois repeintes. Elles le seront dans leur coloris d’origine ou le plus approchant possible, la livrée étant alors simplifiée dans ses finitions, non reproduction des rechampis (filets, cadres…). Le vert le plus usité était le vert prussien, qui fut utilisé pour bien des machines.

Livrées des machines à leur arrivée dans les installations belges :

Bavaroises : Vert bronze, bords gris, cadres et filets jaunes, roues vermillon…

source: traintamarre.tassignon.be/textes … istice.htm

J’imagine que “3311” est une erreur de frappe et que tu voulais écrire “3111”, car la 3311 n’est nullement une “fausse belge” - ni une vraie d’ailleurs.

Par contre, il est vrai que par réparation du traité de Versailles, les chemins de fer belges ont eu trois locomotives de la série bavaroise S3/6. Tout comme les Chemins de Fer de l’État français en ont eu.
La 3111 répond, jusque-là, à une réalité historique.
**Sauf qu’il paraît que les Belges **se sont contentés d’enlever aux chemins de fer allemands le moyen de traction (dont, par ailleurs, ils auraient profité parce que les bénéfices du rail servaient à payer d’autres réparations, en or comptant…), mais n’avaient aucune envie de faire rouler ces belles machines, et les auraient ferraillées sans jamais les avoir chauffées, en 1924. Ils auraient mieux fait de les laisser s’ils ne savaient pas les manipuler…imageshack.us/a/img854/705/hexz.jpg
***- Alors, Tchantchès, c’est pour aujourd’hui ou pour demain ???

  • J’y comprends rien chef…Cette cabine est pleine de robinets et de drôles de bidules !

  • Descendez, je vais faire découper ce satané engin…Les belges que nous sommes se passeront bien du “cadeau” des fridolins !!!***

:smiley: Bonjour…

pas tout à fait… :vieux:

car les nôtres se sont aussi vite retrouvées sur les voies de débord…

ou ,le combustible n’ était pas adapter au machines , voir le profil de la ligne…

ou peut être un mauvais entretient , par manque de pièces de réserve ,voir par chauvinisme , va donc savoir la véritée…

en comparaison des machine US ou Anglaise , qui ont roulées très longtemps comme les 140 Pershing ,

et qui ont finis leur carrière dans les années 1950 ,

i55.servimg.com/u/f55/11/32/05/72/2256-010.jpg

et en couleur bleu du PO…

Bonjour à tous,
Marcus, je pense que tu fais une confusion:
“Les locomotives connues sous ce nom ne concernent donc pas les locomotives récupérées après la seconde guerre mondiale. L’armistice n’en a d’ailleurs toujours pas été signé.”
Pour la 2ème Guerre Mondiale, l’armistice a bien été signé (le 7 au soir) et est entré en vigueur le 8 Mai (ou le 9 selon les pays), mais pas la paix!
Cordialement, Bernard.

Ben, je ne suis pas sûr de bien comprendre Marcus, mais… les S3/6 arrivées à Saintes y ont fait long feu (pour ainsi dire), puisqu’elles ont réellement arboré les armoiries SNCF - et la SNCF a été fondée 20 ans après la fin de la guerre… Il y a donc eu probablement des soldats arrivés en Charente-Maritime en 1943, qui ont découvert : “Dience, fouce afé lé méme logomotiff que nousse ! Nous nous sendon dou de zuide blusse ché nousse !”

:smiley: slt

oui ,numérotation à la craie ou plaque état… :nerd:

pour les armoiries ??..ou plaques sncf…

Bien des amateurs se demandent pourquoi l’État a radié et ferraillé les magnifiques, rapides et puissantes pacific S 3/6 bavaroises, qui étaient à l’époque, la locomotive à vapeur la plus aboutie. Certains auteurs ont émis l’hypothèse que l’État ne souhaitait pas conserver des machines compound dont l’entretien était plus délicat ou de petites séries. Mais alors, pourquoi avoir conservé les 3 S 101, Type 61 tout aussi compound ? Nous devons envisager comme plausible un certain ostracisme né de la guerre envers les chemins de fer fédéraux bavarois.

Source: traintamarre.tassignon.be/textes … tice.htm….

oui ; pour les pacific wurtenbourgeoise elles reçurent des plaques ETAT…
puis ,elles furent reprises par les Allemands durant la guerre…
puis revenues dans un triste état après la guerre, voir le lien si dessous.

roland.arzul.pagesperso-orange.f … istice.htm

:smiley: slt

OUI , de bien belles machines à avoir sur son réseau que se soit :

Allemand
Belges
ou version ETAT…

juste une dernière remarque ,la bavaroise toute bleu , un coup de peinture publicitaire de marklin…

les S 3/6 Bavaroise fin de carrière 1965 /1966…

bon train , et que sa roule… :study:

J’imagine que “3311” est une erreur de frappe et que tu voulais écrire “3111”, car la 3311 n’est nullement une “fausse belge” - ni une vraie d’ailleurs.

Par contre, il est vrai que par réparation du traité de Versailles, les chemins de fer belges ont eu trois locomotives de la série bavaroise S3/6. Tout comme les Chemins de Fer de l’État français en ont eu.
La 3111 répond, jusque-là, à une réalité historique.
**Sauf qu’il paraît que les Belges **se sont contentés d’enlever aux chemins de fer allemands le moyen de traction (dont, par ailleurs, ils auraient profité parce que les bénéfices du rail servaient à payer d’autres réparations, en or comptant…), mais n’avaient aucune envie de faire rouler ces belles machines, et les auraient ferraillées sans jamais les avoir chauffées, en 1924. Ils auraient mieux fait de les laisser s’ils ne savaient pas les manipuler…imageshack.us/a/img854/705/hexz.jpg
***- Alors, Tchantchès, c’est pour aujourd’hui ou pour demain ???

  • J’y comprends rien chef…Cette cabine est pleine de robinets et de drôles de bidules !

  • Descendez, je vais faire découper ce satané engin…Les belges que nous sommes se passeront bien du “cadeau” des fridolins !!!***Dè Djôzef, ca vou dire kwè “Drükluft” è “Wasserkran” è “Geschwindigkeit” ?
    Sé nin hin mi ! Diskôpe lu et èvôye lu â Djal !!!

*Ta raison djôseph, y commence à nous moussi fou dès cou avou leus agaillon !!! * :smiley:

Bon rail, Jean-Pierre.