Bonjour
Le cargo Belpamela…
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La reférence : 3111
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Pacific bavaroise , ex prise de guerre ou en dédomagement de fait de guerre…
La référence : 3311
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Pacific wurtemburgeoise…
ex : prise de guerre ou en dédomagement de fait de guerre.
C locomotives ont été construites au début du XXe siècle pour le Royal chemins de fer Württemberg ( KWSt.E ) destiné à conduire des trains rapides et express. Constructeur: M. Kittel. Dans les années 1909-1921 a produit seulement 41 exemplaires dans l’usine Maschinenfabrik Esslingen . En raison de l’aspect inhabituel dans le temps gagné le surnom de Die Schöne Württembergerin ce qui est beau Wirtemberka.
Après la fin de la Première Guerre mondiale dans le cadre des réparations de guerre trois articles (numéro C 2001, C 2026 C 2027) a frappé la tour française ETAT , et un (n copies C 2010, n ° 3571 Factory, l’année de fabrication 03/1911) sont venus l’état ferroviaire , en 1919, où il a reçu Om101 désignation de série et le numéro 1 Type d’appel d’offres 2’2T20 (2001-2024 le nombre de moins tendre 2’2T20 numéros 2025-2041 plus tendre 2’2T30) a été nommé 20D101. Les 37 unités restantes acquis Deutsche Reichsbahn comme une série de numéroté 18101 18,1 à 18,137. Derniers copies actives en Allemagne et 18133 18136 ont été utilisés en 1955 à Ulm.
Une copie de Om101-1 a été affecté à la Kaliska rotonde (Direction de Varsovie) et a couru les trains de voyageurs et de trains rapides. Probablement après 17 Septembre 1939, il est capturé par les forces soviétiques et intégrés dans le Commissariat du peuple flotte des Transports (NKPS) URSS . Après Juin 1941, il était en Roumanie, où il a pris les chemins de fer de l’Etat CFR que 231 901. Là, il a finalement été abandonné.
source wikipedia
Photo du bas : Une pacific wurtemburgeoise (2C1 h4v) réimatriculée 3-231 A 997 à la SNCF, mais qui semble en bien triste état ,en france…
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Les locomotives « Armistice »
I. Introduction.
L’armistice a été signé le 11 novembre 1918 alors que les armées allemandes occupaient encore des territoires dans des pays étrangers notamment en Belgique et en France. Le retour des armées allemandes s’est effectué dans la douleur, rapidement – dans le cadre d’une guerre civile larvée - et dans le désordre. Ils laissèrent derrière eux bien du matériel. (Notamment des wagons de munition. Ceux-ci agirent comme des bombes à retardement dont les détonateurs étaient l’appétit de la population pour le cuivre).
L’article 7 de la convention d’armistice de ce 11 novembre 1918 précise " il sera livré aux puissances associées: 5.000 machines montées et 150.000 wagons en bon état de roulement et pourvus de tous rechanges et agrès nécessaires, dans les délais dont le détail est fixé à l’annexe n° 2 et dont le total ne devra pas dépasser trente et un jours."
Ce sont ces locomotives qui seront communément désignées sous le vocable de « locomotives armistices ».
Les locomotives connues sous ce nom ne concernent donc pas les locomotives récupérées après la seconde guerre mondiale. L’armistice n’en a d’ailleurs toujours pas été signé.
C’est la Commission Interallié pour la Récupération de Matériel (CIIRM), basée à Wiesbaden, en Allemagne, avec des sièges à Aachen, Bruxelles et Sarrebruck, qui sera chargée de répartir le matériel. Les premières machines reçues par l’Etat Belge furent prises en écriture des février 1919. Près de 4 plus tard, le 15 septembre 1922, le sous-commissariat d’Aachen fixa la part de la Belgique à 2.082 unités. Il y a un écart de 145 machines (2.227 en fait) entre le nombre officialisé et l’inventaire réel ; mieux, il y a contradiction entre les données belges et allemandes. L’hypothèse est que ce lot de 145 machines représente le matériel abandonné sur les voies par les allemands.
Les auteurs français prétendent, sans être contredits, que le choix du matériel fut fait par des militaires, sans aucune autre considération que le pragmatisme à courte vue : soit du matériel employable tout de suite en cas de contre-attaque des allemands et privant ainsi l’ennemi de logistique. Ceci expliquerait la diversité du matériel récupéré comme l’ahurissant choix à l’unité. Nos voisins retiennent comme exemple le choix de 3 Pacific Wurtembergeoise de classe C (future BR 181 de la DRG), connue sous les surnoms de petite pacific, d’élégante pacific ou encore de pacific légère, dont aucune usine française n’était à même de réaléser les bandages de roues. Avons-nous hérité du solde ou d’autres militaires, belges, ont-ils collaborés à ce choix douteux ?
Ce lot de plus de 2.000 machines était vaste et disparate ; cet apport constituera près de 50% du parc belge, ainsi fortement germanisé : la plus grande série de locomotives homogènes en service à la SNCB - créée en 1926 - sera une série « armistice », le Type 81 – 583 locomotives - l’une des machines les plus appréciées des amateurs, la plus grande série pour les trains de voyageurs, le Type 64, - 165 locomotives - aura la même origine.
Enfin, les historiens ont marqué moins d’attention aux tenders. En règle générale, les machines étaient dotées de tender à 3 essieux. Mais…
Il me semble que le contexte doit être mieux connu pour bien s’y retrouver dans cet apport.
source:
traintamarre.tassignon.be/textes … istice.htm