Est-on obligé de faire un itinéraire pour utiliser la rétrosignalisation par occupation des voies ?
Encore un de perdu dans la compréhension de certains manuels Marklin notamment celui du décodeur S88 (réf 60880) et celui du jeu de rails de contact (réf 24995)
Mon équipement est en voie C et en digital (Marklin systèm) avec la CS2 (réf 60213 maj logicielle 1.4.0 (1) et matérielle 3.1…
Comme je comprends rien à la retrosignalisation avec occupation des voies (rails de contact 24995), pouvez-vous me dire quels sont les branchements à faire entre la voie et le décodeur S88 et entre ce dernier et la CS2. Faut-il un fil (marron=ground) qui parte du T du décodeur S88 et vers où ?
Faut-il mettre des isolateurs : si oui combien d’isolateurs et où ? et avec les rails de contacts ? en faut-il et combien ?
Si je rajoute un rail droit (24229) entre les rails de contact : combien faut-il faire de coupure aux extrémités des voies ?
S’il faut des isolateurs, avant et après la section isolée doit-je mettre (via des fiches de dérivation) des fils rouge ou conducteur central et fil marron ou masse avant et après la section isolée ?
Comme dans ma jeunesse j’assemblais des Légo, un schéma explicatif serait souhaitable. Et comment vérifié que la rétrosignalisation fonctionne.
de mémoire, le S88 a 16 entrées qui sont mise à la masse par l’intermédiaire du fil Marron branché dans T.
et c’est cette information qui est modifiée par le passage d’un train sur le rail de détection qui lui doit être relié sur une des 16 entrées
le contrôleur (CS1/2, interface 6050/1 ou memory 6043) va lire la mémoire du s88 séquentiellement le remet à 0 et traite l’information
si rien n’a bougé, il ne fait rien bien sur,
mais si par exemple un contact a été touché après un feu, on dit à la CS “remet le feu au rouge” .
Bonjour Alain …
donc quelle est la longueur que tu préconnises pour la longueur de la voie de détection bus 88.
Bonjour Marc,
C’est adressé à Alain, mais je me permets de donner mon avis …
Je dirais que c’est comme tu veux …
Soit tu fais une zone longue (2 m par exemple) et l’ordinateur voit que cette zone est occupée …
Soit tu l’as fait très courte et l’ordinateur peut compter les essieux au fur et à mesure que le train avance …
Soit tu l’as fait moyenne (25 cm par exemple)
Ensuite à toi de régler le logiciel pour qu’il fonctionne soit sur un état “voie libre” ou “voie occupé”, soit sur une information “il vient de passer quelque chose” …
Chacun fait donc ce qu’il estime être le mieux pour lui, c’est chouette non tu peux choisir …
Personnellement au lieu de faire une zone de 2 mètres par exemple, je préfèrerais faire 3 zones de 25 cm placées à un mètre l’une de l’autre … cela laisse beaucoup plus de souplesse dans l’utilisation future, tu peux voir l’état d’occupation mais tu peux aussi calculer la vitesse de tes trains (à condition que le logiciel sache faire) donc tu peux beaucoup mieux suivre l’évolution des trains sur le circuit …
Si je remonte un réseau un jour , je pense que j’utiliserai des barrières optiques cela permet de garder la masse sur les 2 rails partout, ce qui est bien pratique pour les petites machines roulant seules (je pense à mon Y8500) et de pouvoir déplacer les barrières pour trouver l’endroit le mieux sans tout casser; seul inconvénient on ne peut pas détecter un wagon qui est resté oublié sur la voie, donc il faut faire confiance aux attelages
Je te laisse le lien vers un poste du forum (et il y en a certainement d’autres) où nous avons beaucoup débattu sur les méthodes de rétrosignalisation: [.
Je vais rejoindre Jean-Louis, Alain et Marc pour te dire que tu devras faire un choix . Pour ma part, après examen des diverses possibilités, j’ai renoncé à mon idée première (j’étais vraiment réfractaire au “massacrage” des voies C ) d’utiliser des rails de télécommande et je suis passé à la détection “par occupation” (rails de contact).
Lis, renseigne toi et prends le temps de décider car ton réseau devra être pensé différemment selon l’option de rétrosignalisation choisie.
Vu les options différentes prises par les membres du forum, tu trouveras toujours de l’aide. N’hésite pas à poser tes questions.
Si je remonte un réseau un jour , je pense que j’utiliserai des barrières optiques cela permet de garder la masse sur les 2 rails partout, ce qui est bien pratique pour les petites machines roulant seules (je pense à mon Y8500) et de pouvoir déplacer les barrières pour trouver l’endroit le mieux sans tout casser; seul inconvénient on ne peut pas détecter un wagon qui est resté oublié sur la voie, donc il faut faire confiance aux attelages
Bonne soirée
Bonsoir
une alternative à la barrière optique , qui est surement très bien , c 'est la détection de consommation de courant qui permet de garder la masse sur les 2 files de rails
je l’utilise depuis quelques mois et je trouve ça très fiable, tu coup je fais des cantons de 2 mètres environ
J’ai pris le module de chez adventur in miniatur
Ils vendent le circuit imprimé par correspondance ( c’est du S 88 N avec prise RJ 45 )
a+
une alternative à la barrière optique , qui est surement très bien , c 'est la détection de consommation de courant qui permet de garder la masse sur les 2 files de rails
Bonjour Gilles,
C’est vrai que c’est une bonne méthode du point de vue électrique; mais si tu veux déplacer un secteur de 20 cm, ça se complique … c’est pire que la détection par le rail de roulement car là il faut sortir les rails …
J’utilise de la voie K, donc on peut couper les rails de roulement à la Dremel sans démonter, mais mon dernier réseau m’a montré qu’on finit par faire des pointillés Je ne sais pas faire un plan
Je penche pour une solution où on ne touche pas du tout aux rails et j’ai dans la tête une idée d’un détecteur qu’on pourrait placer sous le réseau sans rien massacrer et sans intervention sur le matériel, mais les journées n’ont que 24 heures
…
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. Pour ma part, après examen des diverses possibilités, j’ai renoncé à mon idée première (j’étais vraiment réfractaire au “massacrage” des voies C 
) d’utiliser des rails de télécommande et je suis passé à la détection “par occupation” (rails de contact).
Je ne sais pas faire un plan 