Patinage artistique sur voie C.

:smiley: Bonjour…

oui , mais faut pas généralisé…

il arrive parfois qu’ une petite machine se plante sur les aiguillages…donc

dans l’ ordre de la recherche pour cette panne…

1 : vérifier le patin ,

vérifier sa planéité…
son écartement qui doit être de : zut , j’ ai égaré l’ explication de Marklin ,si quelqu’ un peu le scanner et le mettre sur forum…
son élasticité si je puis dire, voir lorsque l’ on appuie dessus que la lame de frottement s’ enfonce et revient lors de la pression du doigt…

le B A BA… vérifier que les plots soient bien conducteur électrique…

et hélas bien sur , la masse, bien reponter le câble de masse à cet aiguillage…,voir à ponter de chaque coté les deux files de rails…
Rofra avait à l’ époque donner une petite solution avec un croquis, hélas , perdu…

le poids de la machine, parfois quelque grammes de plus , et hop sa repart…

et vérifier la hauteur des picots lors du passage de la machine…
deux solutions:

1 : plier légèrement les picots avec une pince…
2 : meuler les picots avec une fraise pour réduire la hauteur…

avec la premiére solution ,il est facilement possible de revenir sur la position des picots, pour la seconde ,il faut meuler et vérifier au fur et à mesure…

soyons sérieux le digital n’ a rien à voir avec se problème…

le problème viendrais plutôt d’ un mauvais retour de masse au rail , car si pas de problème avec la voie M qui est entièrement métallique celle-ci a un sacré retour de masse…

j’ ai bannis de mon réseau ,tous les appareils à problème , donc pas de retour d’ expérience pour les tjd ou croisements…

à l’ inverse ,si le patin soulève la machine ,il y a perte de retour de masse et le décodeur perd les informations, du coup il redémarre sa séquence alors que la machine part comme une balle…

pour Pierre…

je fais rouler les deux types de machines.

en trois rails…

en deux rails , pas de problèmes…tout passe très bien…

y compris le petit loco tracteur dcc de ls model…

il faut aussi se rappeler que nos chéres modèles sont plus proche de la mécanique d’ horlogerie et
que parfois un petit réglage s’ impose…
de nos jour le zéro défauts n’ existe plus , l’ époque ou le modèle avant d’ être mis en boite devait passer par une batterie d’ essais sur un petit circuit ,cette époque est révolue…
et hélas nous en subissons les conséquences…
comme exemple de l’ un des plus grand flop de la production de train : Mistral

j’ ai eu beau ,le répété ,le crié haut et fort, il n’ y a rien eu à faire., et pourtant ,combien de petits problèmes auraient pu être éviter : exemple;

manque de poids de la machine…, ex: le picasso.
des roues non bandagées…
des roues voilées…le 65000 et le panoramique.
des platines même pas soudées…voir les trois type de machine…
le patin ,pas conforme à la norme Marklin… etc.
etc

Je le même problème que toi avec la version SNCF de ces modèles (130TB), c’est les roues avant qui ne passent pas bien entre le contre rail et le rail des TJD. Chez moi il suffit de mettre un minimum de vitesse pour ça passe.
pareil pour moi mais en plus cela le fait que d un coté :open_mouth:

j ai essayé de regler le froteur dans tout les sens mais rien ni fait :imp: :unamused:

Bonsoir Marcus,

Ici il n’y a que des locos Märklin qui roulent sur des rails Märklin. Cà n’empêche pas les problèmes. Maintenant si j’ai bien compris, pour jouer avec de la voie C il faut un diplôme d’ingénieur des ponts et chaussées. Bon ben je vais retourner à l’école pour apprendre à poser une table avec de la moquette bien plane comme ça on pourra jouer au train.

Plus sérieusement je vais vous dire ce qu’il faut, c’est que Märklin refasse construire ses produits par des vrais gens, professionnels, qui connaissent leur boulot et pas par des petits chinois débarqués de leur province et qu’on balance sur une chaîne en les payants au rabais …

Franchement, je ne partage pas l’avis de Pierre ; sur les rails C de mon fils j’ai fait rouler tout mon matériel ancien, depuis les 01 et 23 des années 50 en passant par les VT95 jusqu’à la 96, qui est, je crois, la dernière en construction de mes locomotives. Et lui, il a du matériel moderne. D’ailleurs, si j’ai bien vu, les T12 de Jean-Yves font partie du nouveau lot, construit à neuf et donc pour la voie C il y a quelques années - alors que la 86, construite vers 1972 je crois, ne l’est sûrement pas !

Ce qui a pu poser souci, c’était une mauvaise soudure dans la petite 80 de sa boîte de démarrage, et que pendant longtemps j’ai pris pour un problème de masse (mais les ressorts renforcés que j’ai mis sous les essieux n’ont rien changé) avant d’ouvrir la caisse. Mais les vieilles biches y passent tout aussi bien que les jeunes cerfs, et cela vaut même pour la V221 Fleischmann qui a pourtant une mauvaise prise de masse puisque sur un bogie seulement. Le seul aiguillage dans la maison qui fait un peu de souci, est un vieux aiguillage K, de ceux qui avaient encore la boîte en tôle même pour les manuels et pas de moteur séparable. Là, il y a un problème de prise de courant, mais pas sur son jumeau de type plus récent. Et comme je l’avais acheté d’occasion, je ne peux pas imputer automatiquement les dysfonctionnements à la maison Märklin.

Mais, il est vrai, les frotteurs sont un point faible, et que ce soit du M ou du K ou du C, on peut facilement s’accrocher quand un frotteur est déformé. Sauf qu’autrefois ça faisait une étincelle, et puis si l’engin avait un peu d’élan ça passait et on le voyait à peine, et aujourd’hui ça perturbe le digital, et les nouveaux moteurs à vis sans fin ne pardonnent plus si facilement les petites coupures d’alimentation. Ce qui, d’ailleurs, était jadis un des meilleurs arguments contre le 2rails, notamment pour les petits machins dont parle Pierre ! Rien à voir avec la construction du rail donc !
Mais comme la loco tourne, c’est pas ça le problème non plus…

Et la poussée gueulante de Jean-Yves, je la comprends, mais elle vise un innocent. Car la voie C a été construite et commercialisée du temps que Märklin était encore entièrement Made in Germany, qu’ils faisaient d’énormes bénéfices et que les querelles de famille n’avaient pas encore coulé l’entreprise.

Jean-Yves, il te faudra respirer un bon coup, baisser la tension et le pouls, et observer le problème tout systématiquement.
1° Est-ce qu’il apparaît dans les deux sens, avant et arrière, et si tu retournes la loco dans l’autre sens, c’est sur l’aiguillage opposé ou sur ce même aiguillage ?
2° fais rouler la loco très lentement, en l’observant de près, et regarde bien ce qui se passe juste avant qu’elle commence à patiner : est-ce que le bissel se bloque, est-ce que le frotteur s’accroche, est-ce qu’une roue motrice accroche sur un contre-rail ou dans le coeur de l’aiguillage ? Si tu es outillé, tu peux vérifier l’espace entre roues, qui est peut-être hors normes.
3° si tu ne voies pas bien, regarde bien à quel endroit sur l’aiguillage se trouve la loco quand elle s’accroche, et essaie de la faire continuer - en poussant latéralement sur le bissel, en la poussant un peu vers l’avant… et écoute ce qui se passe : si le frotteur accroche, ça s’entend quand il est libéré, par un petit choc métallique.

c’est vrai qu’on peut se plaindre de la voie C, mais rapporté au nombre de modèles produits par Marklin depuis sa création et qui ne posent aucun problème … les anomalies restent bien rares.
Pour ma part ses défauts principaux sont avant tout l’esthétique et le manque d’un rail flexible.

Que l’on ne se méprenne pas: je n’ai aucun problème de continuité électrique avec la voie C. Je n’ai aucun problème sur les coupons de voie qui, d’ailleurs, acceptent tous les types d’essieux. Les problèmes que je rencontre sont étroitement liés au passage des aiguilles à grand rayon par les skis. Les essieux ne posent aucun problème et cela ne déraille jamais.

Les skis de mes machines sont plans, droits, propres, etc. Pourtant, ils s’accrochent MECANIQUEMENT entre les rails et les picots au passage des aiguilles. Et rien n’y fait. Sur certaines machines, c’est imperceptibles; sur d’autres, ça bloque net. Mais dans TOUS les cas, il y a un point dur. Cela dépend du sens de marche de la machine, du sens de prise de l’aiguille, de l’orientation de l’aiguille. Bref, c’est locomotive-dépendant, mais récurrent.
Quant à limer la hauteur des picots de ces aiguilles, c’est le court circuit assuré au passage du coeur d’aiguille.

Et si, en effet, en analogique, un court circuit bref et temporaire au passage de l’aiguille n’a aucune incidence, en numérique, la centrale disjoncte immédiatement. Peu importe la vitesse à laquelle roule la locomotive.