bonjour
NON
mais cela ne doit pas poser de problème
merci
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Bien le bonjour,
je l’ai experimenté il y a quelques années et tout fonctionne sans problème, j’ai utilisé la voie Märklin 24951.
Bonne journée,
Michel
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Oui,
j’ai utilisé un segment de voie M avec un pont métallique avec de la voie C.
Le problème est principalement la qualité des contacts, donc je recommande d’avoir des alimentations régulières.
Thias
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Bonjour Karim
Non, comme le disent tous nos amis. Il est fréquent que les voies M soient utilisée en voie cachée.
Aucune différence pour le digital sauf peut-être la durée d’impulsion sur les aiguillages M à 200 mS ou 300mS alors que la voie C se contente de 100 mS
Amicalement
Jean
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Tenir quand même compte que les rails de la voie M, contrairement à la voie C, ne sont pas isolés entre eux. La détection de présence par circuit de voie n’est pas possible avec de la voie M standard.
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J’utilise de la voie M avec ma cs2, ça fonctionne très bien. Pour les signaux et aiguillages croisement et autre, j’ai couplé un6015 à ma CS2 et j’ai branché mes k83 sur ce 6015: ça fonctionne nickel. Pour moins réduire la puissance du transfo, j’ai mis des led blanc chaud trouvé sur eBay dans tous les aiguillages signaux et autres .
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Mon réseau utilise les voies M et C , j’ai fait une zone en M et tout le reste en C.
J’utilise plusieurs voies 24951 pour passer de l’un à l’autre.
Je suis en digital commandé par Windigipet. Donc locos étalonnées et contrôle du ralentissement et de l’arrêt par le logiciel.
La rétrosignalisation se fait par détection de courant sur la voie M et sur la voie C par détection sur un rail externe isolé (toutes les voies C ont été charcuté pour la détection de présence).
La seule constatation est la précision des arrêts qui diffère entre la voie C et M:
sur la voie M, c’est la position du frotteur qui donne la position de la loco et sur la voie C c’est les premières roues non isolées.
Je place de préférence le frotteur vers l’avant afin d’avoir une détection presque identique (avant du frotteur (M) - roue avant (C)), mais avec certaine loco vapeur à tendeur séparé, le frotteur est sous le tender. Donc il y a une différence de détection de plusieurs centimètres sur la voie M.
Comme on défini dans le logiciel la distance de l’arrêt par rapport au signal, on obtient une différence avec l’avant de la loco qui se trouve plus ou moins loin de la consigne d’arrêt.
Par exemple si je met l’arrêt au niveau du signal, une loco électrique va s’arrêter comme il faut , alors que la loco vapeur à tender séparé (frotteur sous le tendeur) va dépasser le signal et s’arrêter quelques centimètres après le signal.
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hello
on peut aussi en voie M faire de la détection par consommation de masse en utilisant les rails 5105 notamment ou 5145 par paires
c’est un des rares trucs que j’ai fait , c’est super simple et ca marche nickel 
avec des boitiers de retrosignalisation Viessmann 5217 , mais y a plein d’autres marques
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Bonjour Francis,
Avec les rails 5145 j’e n’ai pas réussi à faire fonctionner correctement la rétrosignalisation. Le 88 reçoit autant d’impulsions qu’il y a de roues! Donc cela ne fonctionne pas pour les gares cachées ou en flip-flop. La longueur de la zone de détection doit être supérieure à longueur de la plus grande loco tender inclus ou voiture. Comme cela il n’y a pas de rupture d’impulsion.
J’ai bricolé un tel dispos Zone de détection, je l’ai nettement amélioré avec un ruban de cuivre adhésif. On peut aussi des tronçons de voie voie C ou des rails VB où les rails droits et gauches sont isolés.
ROZ
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Pour s’affranchir de cette difficulté, il suffit d’envoyer le signal de masse à un circuit temporisateur avec µP 555. En calant la temporisation à 3 ou 4 secondes comme je l’avais fait, non seulement les impulsions de roues étaient lissées mais également les mauvais contacts dus à un rail encrassé ou à des roues pas très nettes.
Et en mettant 2 ou 3 éléments 5145 en série à deux ou trois rails de distance, il y a toujours une roue quelque part qui établit le contact, même avec des voitures X UIC à l’échelle.
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Merci Pilou45
Les rails 5145 ou 5115 sont difficiles à trouver et à des prix exorbitants.
Merci de développer la solution avec la tempo.
ROZ
Bonjour,
Le web fourmille de schémas d’utilisation du µP 555 pour la réalisation de circuits temporisateurs.
J’ajoute simplement que mes circuits à µP555 commandaient des relais monostables à quatre contacts inverseurs dont l’un était raccordé au circuit 88, ce qui autorisait d’autres fonctions.
Bonjour Roz,
Ci joint un lien sur un montage à base de 555. il te suffit de remplacer le bouton poussoir par le contact du rail de détection. Bien sur, la masse des voies doit être reliée à la masse de ce circuit.
A toi de recalculer R2 et C1 pour avoir la bonne tempo.
A+ Remy
https://schema-montage-electronique.blogspot.com/2013/04/un-temporisateur-duree-fixe-base-de.html
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Bonjour
Je ne comprends pas qu’il soit nécessaire de chipoter avec des 555 pour faire des rétrosignalisations avec des s88 sur un réseau en voie M et des rails de contacts…
J’ai utilisé abondamment ce type de rails (et les autres, de type "pédale’ actionnés par le frotteur central) sans aucun soucis, que ce soit avec les memory sur la CS2 ou avec iTrain. Jamais de fausse signalisation !
Sûrement une question de paramétrage quelque part…
Amicalement
Thierry.
Je te rejoins, pour moi le S88 filtre déjà le signal reçu pour éviter les micro coupures.
Bonjour Thierry,
J’ai fait multes montages et voici ce que j’ai observé; avec la pédale tu envoies autant d’impulsions qu’il existe de frotteurs dans ton convoi et avec les rails de contact c’est autant d’imulsions que d’essieux!
Ce qui ne permet pas de faire fonctionner correctement une gare cachée ou une en flip-flop.
Ou alors je n’ai pas tout compris sur le fonctionnement du S88 et son interface avec la CS2…
ROZ
Bonjour ROZ
Je ne sais que répondre… chez moi, ça marche sans soucis ! Gare cachée, … bref, tout le réseau !
La succession d’impulsions est interprétée comme en étant une seule et ne perturbe en rien le logiciel ou le memory.
Thierry
Thierry comment fonctionne ta gare cachée, as-tu un schéma?
Pour ma part, j’ai construit la mienne comme on le faisait en analogique.
En analogique la pédale avec tous ces problèmes de fiabilité établissait le courant pour ouvrir et fermer les circuits d’alimentation en courant traction, ainsi que la bascule des aiguillages.
En digital j’ai supprimé les pédales et l’impulsion pour le S88, entrée Sn, est fournie par par la détection du courant sur les 28 cm de rail isolé, puis les procédures associées à cette impulsion Sn se déroulent.
Mes convois les plus lourd en essieux sont composés d’un loco type 231 suivi de 5 voitures à deux bogies, donc 26 essieux, ce qui me donne 26 impulsions avec un rail 5105 ou 5145.
Iden pour ma gare en flip-flop.
Ai-je loupé quelque chose en digitalisant ma gare cachée analogique?
ROZ
En analogique, au sein de ma gare cachée, un train faisait partir le suivant puis s’arrêtait au signal rouge, et ainsi de suite, dans l’ordre… le 1 faisait partir le 2, le 2 faisant partir le 3, … et le 4 faisait partir le 1. Le tout commandé par des rails de contact 5105 (contact de roue) ou 5146 (pédale frotteur). La taille du canton, de la rame et le positionnement du contact est conçu de sorte que le rail de contact est libéré lorsque le train est arrêté (sinon, le système se bloque !)
Quand je suis passé en numérique, j’ai reproduit la même logique avec les memory, en définissant les actions à effectuer lors du passage du convoi sur le rail de contact, détecté par le s88 : passage du signal au rouge (et donc arrêt de la loco sur la zone isolée par le signal), déviation de l’aiguille derrière le convoi et passage du feu au vert sur la voie suivante…
Avec iTrain, plus de signaux, plus de zone isolée, plus de logique câblée ou programmée, je définis les cantons, les rétro s88 (avec les mêmes rails de contact) en entrée et en sortie de canton et je laisse faire iTrain qui fait partir les trains en fonctions des priorités données aux différents trains, en fonction des critères décidés par moi : train “rapide”, marchandise, navette, … 5 niveaux de priorité sont possibles et certains convois sont interdits d’arrêt dans telle ou telle gare/canton, … les possibilités sont quasi infinies !
Il y a effectivement redondance de contact (on le voit sur le TCo), notamment avec des wagons ou voitures dont la longueur entre essieux ou bogies est supérieure à la longueur de contact mais, apparemment, cela ne gêne pas une détection de passage correcte, comme si la CS2 ou iTrain “savait” que des détections répétées et rapprochées appartiennent au même convoi…
Voilà ! Je n’ai jamais ajouté de dispositifs basés sur le 555… j’en profite pour dire que mes réseaux sont exclusivement constitués de matériel Märklin (pas de “compatibles”) et que je suis scrupuleusement les instructions d’utilisation Märklin (pas de “shuntage” des moteurs d’aiguillage, pas de diode pour les zones de contact (je suis actuellement en voie C), rien de tous ces “chipotages” préconisés par certains et que je n’ai JAMAIS eu de problèmes !
Voilà; j’espère avoir été clair, sinon, je reste à ta disposition pour aider, dans la mesure de mes moyens et de mes (maigres) connaissances.
Belle journée
Thierry.
PS : tu verras bientôt l’évolution de mon réseau en voie C dont la partie “gare de marchandise” s’inspire de l’une de tes réalisations… j’espère que tu ne m’en voudras pas trop !
Bonjour
je ne peux rien dire de plus car j’ai testé avec Rocrail qui est un logiciel “similaire” à iTrain avec les memes résultats que Thierry c’est à dire que ça marche comme si il n’y avait qu’une impulsion
je pense que le logiciel ayant reçu une premiere impulsion au passage du premier matériel roulant sur le rail de contact ( “ENTER” dans le langage Rocrail ) attends de recevoir une impulsion déclenchée par le rail de contact suivant ( “IN” dans le langage Rocrail) et ignore les autres impulsions en provenance du rail de contact “ENTER”